• Le Paléolithique supérieur européen. Bilan quinquennal 2006 – 2011 par Pierre NOIRET (ed.) Auteurs Russia – Anatoly | P. DEREVIANKO, Khizri A. AMIRKHANOV & Sergey A. VASIL’EV Roumanie et République Moldave | Vasile CHIRICA & Valentin-Codrin CHIRICA Greece | Dr. Eugenia ADAM Serbia | Dušan MIHAILOVIĆ & Bojana MIHAILOVIĆ Croatia | Ivor KARAVANIĆ, Darko KOMŠO & Nikola VUKOSAVLJEVIĆ Hungary | Viola T. DOBOSI Slovakia | Ľubomíra KAMINSKÁ Les pays tchèques | Martin OLIVA Allemagne du Sud : L’Aurignacien du Jura souabe | Harald FLOSS Belgique | Marcel OTTE & Pierre NOIRET Région Aquitaine : Dordogne, Gironde, Landes, Pyrénées Atlantiques | Michel LENOIR Des Pyrénées Atlantiques au Languedoc méditerranéen | François BON Italie centrale : Ligurie, Toscane, Latium, Abruzzes | Carlo TOZZI Italie du Sud | Paolo GAMBASSINI, Paolo BOSCATO, Adriana MORONI & Annamaria RONCHITELLI Cantabrian Spain | Lawence Guy STRAUS Catalogne | Josep Mª FULLOLA i PERICOT Nord du Portugal | Thierry AUBRY Southern Portugal | Nuno BICHO, João CASCALHEIRA, João MARREIROS & Telmo PEREIRA
  • Le Vieil-Évreux (Eure – France) dans leur contexte chronostratigraphique

    par Dominique CLIQUET (dir.)

    Table des matières

    Avant-propos | P. Depaepe et M. Otte Préface | J. Jaubert Introduction : Les fouilles du Long Buisson : un chantier – The site of  Le Long Buisson : the excavations | C. Marcigny avec la collaboration de B. Aubry, V. Carpentier, D. Giazzon, G. Guillier, S. Hinguant, C. Hugot, H. Lepaumier et C. Lourdeau Déroulement de l’opération Les résultats Chapitre 1 : Le Paléolithique et l’épipaléolithique dans la région d’évreux : bilan des connaissances et  apports de la fouille du site du Long-Buisson – The Palaeolithic and Epipalaeolithic of the region of Évreux: a review of the earlier evidence and the results of  excavations on the site of Le Long-Buisson | D. Cliquet, B. Aubry, B. Huet, S. Bourdin-Launay & N. Roudié • Le Paléolithique et l’Épipaléolithique de la région d’Évreux : révision des collections du Musée d’Évreux, des séries Bordes et travaux récents • L’apport des travaux récents à la connaissance des occupations paléolithiques de la région d’Évreux • Un diagnostic conduit sur Le Long-Buisson I, tranchées 201 et 202 : artefacts et phénomènes périglaciaires • Le site du Long-Buisson à Guichainville / Le Vieil-Évreux (Eure) : quand la fouille de vestiges protohistoriques et historiques révèlent des occupations paléolithiques Chapitre 2 : Étude des remplissages tertiaires et quaternaires des dolines du plateau crayeux karstifié du Long-Buisson à Guichainville / Le Vieil-Évreux (Eure) : chronostratigraphie des niveaux anthropiques – The study of tertiary and quaternary sediments in sinkholes on the karstified chalk plateau of Le Long-Buisson to Guichainville /Le Vieil-Évreux (Eure): chronostratigraphy in the levels with evidence of human activity | J.-P. Lautridou (†), D. Cliquet, J.-L. Schwenninger & S. Coutard • Le cadre géologique et géomorphologique • Le Long-Buisson I • Le Long-Buisson I : essai d’interprétation. • Les sites du Long-Buisson II et III • Synthèse chronostratigraphique Chapitre 3 : Des occupations du Pléistocène moyen au Long-Buisson – Middle Pleistocene occupation remains in Le Long-Buisson | D. Cliquet • Le Long-Buisson I, Zone 6 : des artefacts du Pléistocène moyen, associés au palésol Iville V (coupe 1, couches 4-5) • Au Long-Buisson I, Zone 5 : une occupation de la fin du Pléistocène moyen, associée aux « limons jaunes » saaliens (deuxième doline, coupes 3, 3bis, 6, 7 & 7 bis) Chapitre 4 : Les assemblages lithiques associés au cailloutis du début du Dernier Glaciaire du site du  Long-Buisson – The lithic assemblages associated with gravels of the Early Weichselian on site of Le Long-Buisson | B. Huet, D. Cliquet et S. Bourdin-Launay • Le Long-Buisson I, Zone 6 : la « série blanche”, un assemblage lithique associé au cailloutis de base weichselien, vraisemblablement rapportable au Pléistocène moyen • Long-Buisson I, Zones 5 et 6 : la « série maron », des artefacts collectés dans le cailloutis du début du Dernier Glaciaire • Le Long-Buisson II, Zone Heb. et villa gallo-romaine : les vestiges collectés dans le cailloutis du début du Dernier Glaciaire et dans les structures en creux des périodes historiques • Contexte des découvertes • Les vestiges paléolithiques • Résultats synthétiques de l’étude Chapitre 5 : L’assemblage lithique associé aux  » sols noirs  » du Début du Dernier Glaciaire : le Long-Buisson I, Zone 5 – Deuxième doline, coupes 9 & 9 bis, horizon 4 – The lithic assemblage associated with the black soils of the Early Weichselian: Le Long-Buisson I, Zone 5 – second sinkhole, sections 9 and 0bis, horizon 4 | D. Cliquet Chapitre 6 : Valeur et signification techno-typologique des assemblages lithiques du Long-Buisson et répartition spatiale des vestiges – Representativeness and significance of techno – typological lithic assemblages of  Le Long-Buisson and the spatial distribution of remains on the site | D. Cliquet et B. Huet • Influence de la matière première sur les processus de mise en œuvre • Approche comparative des  » séries blanches  » des zones 5 et 6 • Approche comparative des  » séries blanches  » et de la « série marron » • La série associée aux  » limons noirs  » du début Weichselien • Quelles affinités pour la série associée aux  » limons noirs  » ? • Conclusion partielle • Analyse spatiale des artefacts des zones 5 & 6 Conclusion : En guise de bilan … – Discussion of the results…. | D. Cliquet,  J.-P. Lautridou (†), B. Huet, S. Bourdin-Launay et B. Aubry • Les occupations du Pléistocène • Nature et fonction des sites • Processus techniques et traditions culturelles • La fin du Pléistocène supérieur (Paléolithique supérieur final) • Pour conclure … • Annexe : Guichainville / Le vieil-Évreux – Long-Buisson: Luminescence dating report – Guichainville / Le vieil-Évreux – Long-Buisson : rapport des datations par luminescence • J.-L. Schwenninger • Comments on the interpretation of the results • The physical basis of luminescence dating • Sample preparation • Measurement procedures Appendix 1 : Details of radioactivity data and age calculations Appendix 2 : Dose rate determination Appendix 3 : Statistics and error calculation Bibliographie Résumés – Abstract Index des noms de lieux Liste des contributeurs

  • par Marcel OTTE, Sonia SHIDRANG, Damien FLAS (eds)

    Table of content

    Remerciements Introduction | M. Otte & S. Shidrang The 1960s excavations at Yafteh Cave | F. Hole The Baradostian Sequence of Yafteh cave A typo-technological lithic analysis based on the Hole and Flannery collection | J.-G. Bordes & S. Shidrang Les fouilles 2005-2008 à Yafteh et la chronologie radiocarbone | N. Zwyns, D. Flas, S. Shidrang & M. Otte Les vestiges techniques en pierre taillée | M. Otte The Upper Paleolithic faunal remains from Yafteh cave (central Zagros), 2005 campaign. A preliminary study | M. Mashkour, V. Radu, A. Mohased & J. Darvish The Earlier Upper Palaeolithic: A View from the Southern Levant | A. Belfer-Cohen & N. Goring-Morris The Early Upper Paleolithic of the Caucasus in the West Eurasian Context | L.V. Golovanova & V.B. Doronichev Conclusion | M. Otte

  • Des chasseurs de rennes en Quercy par Jean CLOTTES, Jean-Pierre GIRAUD & Pierre CHALARD (dir.) Table des matières

    Préface | Jacques Jaubert, Michel Barbaza & Michel Vaginay Avant-propos | Jean Clottes, Jean-Pierre Giraud & Pierre Chalard Historique des recherches : la découverte, la fouille et l’étude | Jean Clottes & Jean-Pierre Giraud Le cadre naturel | Guy Astruc & Laurent Bruxelles Lithostratigraphie, dynamique sédimentaire et implications | Bertrand Kervazo & Stéphane Konik Les micromammifères | Emmanuel Desclaux Le cadre chronologique : datations 14C | Christine Oberlin & Hélène Valladas Les industries lithiques du Solutréen Pierre Chalard, André Morala & Alain Turq, Pétroarchéologie du silex Christian Servelle, Les autres roches Caroline Renard, L’organisation des productions en silex, implications techno-économiques Les industries lithiques du Badegoulien Pierre Chalard, André Morala & Alain Turq, Pétroarchéologie du silex Christian Servelle, Les autres roches Jean Clottes, Carole Fritz, Jean-Pierre Giraud & Christian Servelle, Les galets portant des traces d’utilisation Sylvain Ducasse & Laure-Amélie Lelouvier, Techno-économie des équipements en silex, une première approche diachronique L’art mobilier : le galet gravé badegoulien | Jean Clottes, Carole Fritz, Jean-Pierre Giraud, Christian Servelle Les colorants | Marie-Pierre Pomiès & Colette Vignaud Archéozoologie | Jean-Christophe Castel Analyse cémentochronologique | Hélène Martin & Olivier Le Gall, avec la collaboration de Bernard Martin Premier regard sur la matière dure animale ouvragée | Yanik Le Guillou Les coquillages | Yvette Taborin Le travail du bois de renne dans les couches badegouliennes | Jean-Marc Pétillon & Aline Averbouh Les vestiges humains : deux exemples de traitement du cadavre | Dominique Henri-Gambier & Sébastien Villotte Structures d’habitat et organisation de l’espace | Nathalie Fourment & Jean-Pierre Giraud De 20 000 à 18 000 BP en Quercy : Apports de la séquence du Cuzoul de Vers à la compréhension de l’évolution des comportements socio-économiques entre Solutréen et Badegoulien | Sylvain Ducasse & Caroline Renard

    avec la collaboration de Guy Astruc, Aline Averbouh, Laurent Bruxelles, Jean-Christophe Castel, Pierre Chalard, Jean Clottes, Emmanuel Desclaux, Nathalie Fourment, Carole Fritz, Jean-Pierre Giraud, Dominique Henri-Gambier, Bertrand Kervazo, Stéphane Konik, Olivier Le Gall, Yanik Le Guillou, Laure-Amélie Lelouvier, Bertrand Martin, Hélène Martin, André Morala, Christine Oberlin, Jean-Marc Pétillon, Marie-Pierre Pomiès, Christian Servelle, Yvette Taborin, Alain Turq, Hélène Valladas, Colette Vignaud, Sébastien Villotte

    Bibliographie
  • par Michel MALAISE et Jean WINAND

    1. Jean WINAND, Le voyage d'Ounamon. Index verborum, concordance, relevés grammaticaux, 1987. 2. Jean WINAND, Études de néo-égyptien, 1. La morphologie verbale, 1992. 3. Pierre KOEMOTH, Osiris et les arbres. Contribution à l'étude des arbres sacrés de l'Égypte ancienne, 1994. 4. Juan Carlos MORENA GARCIA, Études sur l'administration, le pouvoir et l'idéologie en Égypte, de l'Ancien au Moyen Empire, 1997. 5. Dimitri LABOURY, La statuaire de Thoutmosis III. Essai d'interprétation d'un portrait royal dans son contexte historique, 1998. 6. Michel MALAISE & Jean WINAND, Grammaire raisonnée de l'égyptien classique, 1999. 7. Laurent BRICAULT, Isis, Dame des flots, 2006.

  • par Juan Carlos MORENO GARCIA 1. Jean WINAND, Le voyage d'Ounamon. Index verborum, concordance, relevés grammaticaux, 1987. 2. Jean WINAND, Études de néo-égyptien, 1. La morphologie verbale, 1992. 3. Pierre KOEMOTH, Osiris et les arbres. Contribution à l'étude des arbres sacrés de l'Égypte ancienne, 1994. 4. Juan Carlos MORENA GARCIA, Études sur l'administration, le pouvoir et l'idéologie en Égypte, de l'Ancien au Moyen Empire, 1997. 5. Dimitri LABOURY, La statuaire de Thoutmosis III. Essai d'interprétation d'un portrait royal dans son contexte historique, 1998. 6. Michel MALAISE & Jean WINAND, Grammaire raisonnée de l'égyptien classique, 1999. 7. Laurent BRICAULT, Isis, Dame des flots, 2006.
  • Vol. 4 : Les églises par Marcel OTTE (dir.) Résumé indisponible.
  • La morphologie verbale par Jean WINAND 1. Jean WINAND, Le voyage d'Ounamon. Index verborum, concordance, relevés grammaticaux, 1987. 2. Jean WINAND, Études de néo-égyptien, 1. La morphologie verbale, 1992. 3. Pierre KOEMOTH, Osiris et les arbres. Contribution à l'étude des arbres sacrés de l'Égypte ancienne, 1994. 4. Juan Carlos MORENA GARCIA, Études sur l'administration, le pouvoir et l'idéologie en Égypte, de l'Ancien au Moyen Empire, 1997. 5. Dimitri LABOURY, La statuaire de Thoutmosis III. Essai d'interprétation d'un portrait royal dans son contexte historique, 1998. 6. Michel MALAISE & Jean WINAND, Grammaire raisonnée de l'égyptien classique, 1999. 7. Laurent BRICAULT, Isis, Dame des flots, 2006.
  • ATTENTION : uniquement en version en ligne, pas de version papier Postures, dispositifs, processus Children in Ethnographic Restitution: Standpoints, Mechanisms, Processes Élodie RAZY, Charles-Édouard DE SUREMAIN & Neyra Patricia ALVARADO SOLÍS (éds)

    Si les débats sur les restitutions muséales, les approches participatives et la science ouverte occupent chaque jour davantage de place au sein du monde académique, la « fabrique » et les usages de la restitution des résultats de la recherche restent quant à eux encore peu abordés. Que signifie restituer, pourquoi, comment, et à qui ? Avec quelle responsabilité pour les multiples acteurs de la recherche ? Pour quels effets, attendus ou non ?

    L’ambition de croiser restitution et enfance naît d’un constat : tout se passe comme si la participation des enfants et les « bénéfices » que ces derniers devaient nécessairement pouvoir retirer de toute recherche rendaient caduques les débats sur le sujet. Or le mot d’ordre de la participation des enfants à une recherche respectueuse de leurs droits, relayé par nombre de manuels méthodologiques, est loin d’épuiser la réflexion sur la restitution.

    Les auteurs de l’ouvrage explorent la restitution sous plusieurs angles — politiques et formels — et à différentes échelles d’analyse — micro, méso et macro —, à partir de terrains ethnographiques contrastés (Europe/Amérique latine). Cette approche comparative permet d’aborder des questions essentielles en sciences sociales : des politiques de la recherche aux rapports entre science, médias et société ; des relations interpersonnelles entre chercheurs et acteurs au rôle des institutions encadrant l’enfance ; ou encore de l’invisibilité des enfants à leur agentivité sociale et politique.

    Les différents chapitres, et la postface, livrent divers enseignements critiques, épistémologiques et éthiques susceptibles de nourrir l’anthropologie générale et les sciences sociales en général, mais aussi d’éclairer les approches centrées sur les enfants, cas exemplaire de population subalterne. Par extension, l’ouvrage donne des orientations à celles et ceux qui réfléchissent et agissent sur la reconfiguration des rapports entre science et société.

    Élodie RAZY, professeur en anthropologie (ULiège, Belgique), étudie la genèse précoce et les (re)compositions des affects, du corps et des identités au carrefour des constructions de l’enfance et de l’agentivité des enfants (Mali, Mexique, Europe) dans les champs de la parenté, du religieux et de la migration.

    Charles-Édouard DE SUREMAIN, directeur de recherche en anthropologie (UMR 208 PALOC, IRDMNHN, France), travaille sur l’alimentation, les rituels, les soins et les figures internationales de l’enfance. Il explore les tensions entre patrimonialisation et développement local à partir des enfants (Afrique, Amérique latine).

    Neyra Patricia ALVARADO SOLÍS, enseignante-chercheuse en anthropologie (El Colegio de San Luis, Mexique), travaille sur la mobilité, l’enfance, l’enfance et le handicap et les rituels dans les populations du nord du Mexique (Indiens Nahua, habitants du désert, et Ludar, « gitans»).

  • Dirigé par Antoine Dechêne et Bruno Dupont Antoine Dechêne & Bruno Dupont, Crises singulières, crise plurielle. Un concept, son évolution et son potentiel pour les sciences humaines François Dubuisson, Valéry, Husserl, Arendt : consciences d’une crise intellectuelle Laurence Daubercies, Les French Studies américaines au tournant du XXIe siècle Enjeux et discours d’une crise identitaire Jéromine François, La Célestine au Mexique : de la crise identitaire à la crise historique Corentin Lahouste, Répondre à la crise par la crise. Scandale et débordement dans "Neung conscience fiction" de Marcel Moreau Sophie Collonval, L’emploi des langues à l’épreuve du contexte politico-économique belge. Étude linguistique au sein d’entreprises publiques nationales et régionales Boris Krywicki, Critique des critiques. La crise de la légitimité des journalistes spécialisés en cinéma face aux dispositifs proposés sur le web Janina Henkes, La maladie comme crise – La crise comme maladie. Réciprocités entre sujet et société Helena Cassol, Charlotte Martial & Steven Laureys, Les expériences de mort imminente
  • Discours, identités, éducation Jérôme Flas & Elise Schürgers, Introduction Fabio Fortes, Les déviations linguistiques comme variation linguistique dans le De constructione de Priscien (VIe siècle après J.-C.) Aurélien Bourgaux, Exclure l’hérésie, bâtir l’orthodoxie selon Théodore de Bèze (De haereticis, 1554) Marie Viérin, « Une heureuse reconnaissance » : penser les relations inter-féminines dans la littérature néerlandaise de l’entre-deux-guerres Bastien Bomans, Retour à l’anormal : réflexions et enjeux de la pensée queer multidimensionnelle Vincent La Paglia, La transgression au sein d’activités participatives en milieu scolaire : entre « innovation » et « déviance » Philippe Hambye, Commentaire. Normes, déviances et pouvoir : entre dire et non-dits  Claire Ghyselen, Analyse structurale de l’interaction entre les apprenants de xMOOC et émergence de communautés apprenantes
  • 50 lieux communs revus et commentés par Vittorio FRIGERIO Précédé de « Léon Bloy et Gérard de Lacaze-Duthiers : deux consciences contre la bêtise » Et suivi d’un « Petit lexique d’expressions utiles »

    Lieux communs, slogans, banalités, clichés, proverbes, adages, prêt-à-penser servi à toutes les sauces, ayant toutes le même goût. Sagesse des nations ou pâture langagière de la paresse intellectuelle, (ré)confort des certitudes moyennes, socle d’une société mentalement ossifiée et fière de l’être. Deux écrivains sur les marges opposées du spectre politique — Léon Bloy, le romancier catholique, et Gérard de Lacaze-Duthiers, l’esthéticien anarchiste — ont exploré ces sables mouvants de la langue pour dénoncer les platitudes de leur époque, déguisées en savoir incontestable. Sous leur égide idéale, cet ouvrage décortique 50 vérités discutables de notre temps, « fake news » avant la lettre.

    Vittorio FRIGERIO est professeur titulaire à l'Université Dalhousie (Halifax, Canada). Il est l’auteur de 14 livres, dont La Littérature de l’anarchisme (ELLUG, Grenoble 2014). Il est directeur de publication de la revue en ligne Belphégor et rédacteur en chef de la revue Dalhousie French Studies.

  • Traduction, introduction et notes par Willy Burguet par Francesco SANSOVINO

    En 1550 Francesco Sansovino, à l’aube de sa carrière d’écrivain et d’éditeur, entreprend de révéler à ses concitoyens les mystères du corps humain. Il publie à Venise, en langue vulgaire et dans un format réduit, un traité d’anatomie qu’il intitule L’Edificio del corpo humano en hommage à son père l’architecte Jacopo Sansovino. Ce sera un des premiers livres de poche de notre société occidentale, un ouvrage de vulgarisation qui témoigne de la volonté de diffuser au Cinquecento les fruits de l’humanisme et de la science dans un large public, celui qui ne maîtrise pas le latin, la langue des lettrés et des savants. La traduction commentée du texte original rend compte des connaissances anatomiques de l’époque et d’une série de concepts insolites censés expliquer le fonctionnement de notre organisme, le rôle des humeurs et des esprits, la capricieuse évacuation des résidus, la théorie vitaliste, la circulation veineuse à rebours, la chaleur du cœur et la froideur du cerveau, la nocivité du coït, la malédiction des menstrues, l’influence des planètes sur la grossesse et les performances des dératés, un ensemble étonnant d’idées reçues, remontant aux temps galéno-hippocratiques et dont certaines sont encore vivaces de nos jours.

    Willy BURGUET est né en 1940 à Dison. Ex interniste et spécialiste en médecine nucléaire au CHU de Liège, il est membre de la Société Dante Alighieri et a fréquenté les Universités pour Étrangers de Sienne et de Pérouse. Élève de la Faculté de Philosophie et Lettres de l’Université de Liège, il a participé à diverses initiatives du service de langue et littérature italienne moderne et contemporaine. Il a publié en 2018 chez Nerosubianco Da Trotula a Vesalio. Itinerari della medicina in Italia.

  • Réflexions diverses sur le mot-valise par Richard MARTIN

    Des dictionnaires de mots-valises, il en existe déjà. Le procédé, peu connu par son nom, est exploité dans les domaines les plus divers, pour son humour ou son efficacité. Le présent ouvrage offre en ouverture une série de réflexions sur le concept avant d’en explorer un maximum de possibilités.

    Richard MARTIN est né en 1953 à Liège. Il y a fait de bonnes études secondaires, mais son talon d’Achille était le cours de français, en particulier la rédaction de texte. Obstinément désireux d’affronter ses faiblesses plutôt que d’exploiter ses forces, il a opté, après un bref passage par la philosophie, pour des études de philologie romane, réussies sans embarras. Il a néanmoins passé l’essentiel de sa carrière comme fonctionnaire à la Fédération Wallonie-Bruxelles. À présent retraité, il a à cœur de donner forme et volume à ce qui l’a toujours fasciné : l’écriture. Son humour se complaît parfois dans la noirceur, parfois dans l’absurde et il se réjouit quand il peut marier les deux.

  • Tricher

    10,55
    Fabrications d’intelligence collective à l’école par Thierry DRUMM

    S’il y a une chose que l’école enseigne, c’est bien l’horreur de la triche. Mais tricher ne s’entend jamais qu’en rapport à certaines manières d’apprendre, celles qui s’affairent à fabriquer des individus dotés d’une pensée personnelle et privée. C’est dans ces conditions, et dans ces conditions seules, que toute manière de connaître à plusieurs reçoit l’infâmant nom de triche. Les tricheuses et tricheurs n’en ont que faire, et continuent obstinément de cultiver d’éblouissantes capacités d’intelligence collective. Dans une situation marquée par les désastres associés à des manières de vivre qui ont l’« individu pensant » pour tout ingrédient, il importe vitalement d’apprendre des tricheuses et tricheurs mille manières de connaître autrement, de penser à plusieurs, d’apprendre mutuellement.

    Thierry DRUMM est philosophe. Son travail se nourrit du pragmatisme de William James et s’efforce de cultiver, de concevoir, de relayer des capacités collectives de réponse aux désastres écologiques en cours.

  • La Liste

    12,00
    par Vera Viehöver (dir.)

    Créée en 2002, la revue Formes poétiques contemporaines étudie la poésie des XXe et XXIe siècles dans sa dimension formelle. La forme est ici conçue comme ressortissant à l’ensemble des plans qui relèvent de la dimension linguistique, infra-linguistique et/ou visuelle du texte, et qui se prêtent à l’observation et à la description méthodiques. FPC accueille des articles de réflexion et d’analyse scientifique dans des dossiers thématiques, mais aussi des contributions des poètes eux-mêmes.

    La liste Dossier publié sous la direction de Vera Viehöver Jan Baetens | Paola Bozzi | Charlène Clonts | Thomas Keith | Raluca Manea | Anca Mitroi Sprenger | Jason Skeet Ana Blandiana | Nora Gomringer | Robert Lax | Michèle Métail | Lev Rubinštejn et Dmitrij Prigov | Anne Tardos

    Parole aux poètes David Caplan | Michel Delville | Vincent Tholomé | Grzegorz Wróblewski | Yekta

    Varia Jan Baetens | Alain Chevrier | Gérald Purnelle Pierre Alferi | Blaise Cendrars | Bernard Delvaille

  • Jean-Louis Dumortier (éd.)

    Il n’est d’imposture que découverte. Qui ne s’avise pas d’avoir été trompé ou de s’être abusé lui-même — sur ce qu’il vaut, sur ce qu’il peut — n’éprouve pas de sentiment d’imposture. Vogue sa galère sur une mer dont il ignore les dangers ! Mais que survienne la tempête d’une prise de conscience…

    Ces soudaines levées de la houle, ces vagues de désillusion qui déferlent, qui font perdre le cap et craindre le naufrage, Simenon les a tant racontées que l’on peut se demander — quand on sait la vertu thérapeutique de ses « transes » romanesques — s’il n’est pas obsédé par l’imposture, par le risque de la perte d’identité dans une mascarade quasi universelle, dans un tourbillon d’apparences à l’agitation duquel, plus ou moins délibérément, il contribue lui-même en se mettant en scène. Sa quête inlassable de « l’homme nu », la fascination qu’exerce sur lui la figure du clochard, radical du dépouillement, exhibitionniste du rejet des apparences dignes, ne sont-elles pas des symptômes d’une angoisse de s’égarer dans un monde de faux-semblants paré du nom de société, dans un jeu de dupes dont il ne parvient pas à tirer son épingle ?

    Telle est en tout cas la piste de recherche qu’ont suivie celles et ceux qui ont contribué à ce volume de Traces. En s’attachant pour la plupart à interpréter un seul roman comme une variation sur le thème de la découverte de l’imposture, en interprétant l’œuvre choisie selon des perspectives assez différentes les unes des autres, mais en veillant à illustrer l’art subtil d’un romancier qui donne plus à comprendre qu’il n’en dit, les autrices et les auteurs ont abondamment documenté un sujet qui ne renouvelle peut-être pas les études simenoniennes, mais qui, assurément, n’a pas encore été approfondi.

    Jean-Louis DUMORTIER, professeur ordinaire honoraire de l’Université de Liège, a dirigé de 1999 à 2014 le service de Didactique du français. Actuel directeur de la revue Traces, il a consacré à Simenon, entre 1985 et aujourd’hui, une vingtaine d’articles et trois livres.

  • Index verborum, Concordance, Relevés grammaticaux par Jean WINAND 1. Jean WINAND, Le voyage d'Ounamon. Index verborum, concordance, relevés grammaticaux, 1987. 2. Jean WINAND, Études de néo-égyptien, 1. La morphologie verbale, 1992. 3. Pierre KOEMOTH, Osiris et les arbres. Contribution à l'étude des arbres sacrés de l'Égypte ancienne, 1994. 4. Juan Carlos MORENA GARCIA, Études sur l'administration, le pouvoir et l'idéologie en Égypte, de l'Ancien au Moyen Empire, 1997. 5. Dimitri LABOURY, La statuaire de Thoutmosis III. Essai d'interprétation d'un portrait royal dans son contexte historique, 1998. 6. Michel MALAISE & Jean WINAND, Grammaire raisonnée de l'égyptien classique, 1999. 7. Laurent BRICAULT, Isis, Dame des flots, 2006.
  • On Mechanically-Enhanced Reading par Anne-Sophie BORIES Gérald PURNELLE Hugues MARCHAL (eds)

    Scholars today are experimenting with a vast array of reading devices in order to explore texts anew, often blending, both on the technical and on the hermeneutical axes, traditional approaches and innovative computing tools, that collect textual features and detect trends not visible to a human eye as they exceed the span of our focus. Our understanding of poetry is not left untouched by the revolution that computational analysis is bringing to the humanities. Because of its intrinsic link to verse, poetry has been a very early object of statistical studies. Any careful examination of metres, rhymes, or caesuras is bound to generate large datasets, calling for the borrowing of methods from the exact sciences. Indeed, attempts at a mathematical evaluation of poetic styles largely predate the use of computers, and the methodological turn towards the use of new technologies has been generally well-received within the academic community. Still, is the mechanically enhanced, “nonhuman” reading of poems fruitful, or even legitimate? Must the literary scholar, whose object is a fundamentally “human” material, meet the burden of proof and possibly cast away intuitions? Conversely, can calculations account for the subtlety of our poetic experience? Is poeticity, in other words, to be found in the measurable sum of artfully assembled processes, or does it escape all normalisation efforts? Stemming from the group Plotting Poetry, a community of scholars of different language areas, working on different time periods and poetical genres, who have come together to share their findings and methods, this volume presents a rich sample of research endeavours in the field. It illustrates how a mechanically-enhanced reading can be put to the test, serve to pursue traditional hermeneutical questions, challenge certain assumptions about forms, reveal unsuspected thematic patterns, feed the approach of the literary historian, or open up new, unthought-of paths for our questionings. It is aimed both at specialists of either poetry or digital humanities, and at a broader readership curious to learn about computational approaches to poetry studies.

    Anne-Sophie BORIES is a group leader in French literature at the University of Basel and founder of the group Plotting Poetry.

    Gérald PURNELLE is professor at the University of Liège, where he teaches French-language poetry, applied statistics, metrics and the history of poetic forms.

    Hugues MARCHAL is professor of modern French and general literature at the University of Basel and honorary member of the Institut universitaire de France.

  • Anathomia

    13,00
    Mondino De' Liuzzi
    Traduit et commenté par Willy Burguet L'Anathomia rédigé en 1316 à Bologne par Mondino de’ Liuzzi est le premier traité d’anatomie qui ait pour base la dissection du cadavre humain. Il est souvent cité, mais rarement lu, en tout cas dans sa version latine originale. Il s’agit pourtant d’un texte fondamental de l’histoire de la médecine parce qu’il fait la synthèse de ce que l’on connaissait de l’anatomie à la fin du Moyen Âge et qu’il a souvent été utilisé dans l’enseignement de la médecine. Le texte a été traduit dès 1493 en langue italienne vulgaire, plus accessible au public, et imprimé à Venise dans le premier ouvrage médical illustré de l’histoire de la médecine, le Fasciculo di medicina. Nous en proposons la traduction commentée en langue française, traduction que nous avons illustrée par les premières planches significatives d’anatomie humaine dessinées à Paris en 1345 par Guido da Vigevano, un élève de Mondino, ingénieur militaire et médecin de la reine Jeanne de Bourgogne. Les traités de Mondino et de son élève ne révèlent pas seulement ce que l’on connaissait de l’anatomie humaine au XIVe siècle, mais décrivent aussi différentes maladies et d’étonnantes méthodes thérapeutiques. Ils démontrent en tous cas que les enseignants disposaient déjà à l’époque de données scientifiques significatives, certes incomplètes, mais annonciatrices des découvertes d’André Vésale et de ses successeurs à la Renaissance. Willy Burguet est né en 1940 à Dison. Ex interniste et spécialiste en médecine nucléaire au CHU de Liège, il est membre de la Société Dante Alighieri et a fréquenté les Universités pour Étrangers de Sienne et de Pérouse. Élève de la faculté de Philosophie et Lettres de l’université de Liège, il a participé à diverses initiatives du service de langue et littérature italienne moderne et contemporaine. Diplômé en Histoire de la médecine de la faculté de médecine de Paris Descartes, il a publié en 2018 chez Nerosubianco Da Trotula a Vesalio. Itinerari della medicina in Italia et en 2019 aux Presses Universitaires de Liège Francesco Sansovino : L’édifice du corps humain. (Venise 1550). Traduction, introduction et notes par Willy Burguet.
  • édité par Jean-Louis DUMORTIER

    Honte : peine de se sentir inférieur, indigne, insignifiant. Aux yeux d'autrui, ou à ses propres yeux – mais ne sont-ils pas le truchement du regard des autres ? Peine aussi de prendre conscience de l’infériorité, de l’indignité, de l’insignifiance des personnes que l’on aime. J’ai honte de moi, qui ne puis franchir la barre à la hauteur où elle est placée. À la hauteur où, souvent, je l’ai placée moi-même – mais est-ce bien moi qui ai conçu l’idéal auquel je ne puis atteindre ? J’ai honte de toi aussi, que je voudrais plus digne de mon amour : moins mesquin, moins résigné, moins humilié. Tu me fais honte, ils me font honte (quand ce qu’ils font eux-mêmes est parfois plus honteux), je me fais honte surtout. À cause de mes larcins d’enfants, de mes trahisons d’adulte, de mes fuites en avant, dans l’alcool et la hâblerie, dans l’agitation et l’affabulation…

    Et comment surmonter l’épreuve ? Comment échapper au pénible sentiment de petitesse ? Comment exister à taille respectable si l’on ne choisit pas de tirer son épingle du jeu, en allant voir ailleurs si le juge n’est pas moins sévère, ou en se rayant soi-même de la liste des condamnés à honte ? Il y a le mépris – l’illusion de valoir mieux que ceux qui vous dédaignent –, il y a l’aveu d’indignité en espoir d’indulgence, il y a le rabotage du moi idéal, il y a l’oubli de sa honte dans la sauvegarde des honteux, il y a le crime et la chance paradoxale d’échapper aux jugements insupportables en choisissant soi-même la faute dérisoire pour laquelle on sera châtié. Il y a… bien d’autres issues sans doute que celles illustrées dans les romans ici étudiés.

    La honte est une clé de voûte de l’œuvre de Simenon, dont les contributions à ce volume éclairent bien des facettes, toutes laissant transpirer cette idée, qu’à la honte du vécu personnel, l’écriture pourrait bien être un remède.

  • Table des matières Éditorial Biographie de François Jacqmin Bibliographie de François Jacqmin François Jacqmin – Pierre Puttemans : Lettres choisies d’une amitié Textes de François Jacqmin évoqués dans la correspondance Jacqmin-Puttemans « L’homme qui court » « L’Infini en automne » Notice critique de « L’homme qui court » Notice critique de « L’Infini en automne » François Jacqmin à propos de Pierre Puttemans Pierre Puttemans à propos de François Jacqmin « L’Employé de François Jacqmin » « Notes ténues » « François Jacqmin et les arts plastiques Manuel des agonisants, Poèmes inédits Notice critique des poèmes inédits du Manuel des agonisants Conventions d’édition des textes et poèmes
  • Depuis près de trente ans, l’œuvre du poète François Jacqmin, décédé en 1992, ne cesse de voir grandir la place qu’elle avait déjà acquise de son vivant. Abondante (de très nombreux inédits existent à côté des recueils publiés), elle est doublement intemporelle et actuelle : dans une écriture qui, ne devant presque rien aux époques qu’elle a traversées, n’est pas datée, le poème de Jacqmin reste pertinent pour notre temps, comme il le fut durant son parcours de poète.

    Ces cahiers qui lui sont consacrés sont animés d’un double esprit : le respect du poète François Jacqmin et de son œuvre, le souci de les servir et de les faire mieux connaître.

    Ils seront le lieu de prépublications d’ensembles de poèmes inédits, de proses, de textes sur l’art et les artistes. Ils accueilleront à l’occasion des études sur l’œuvre, des témoignages, des documents (des correspondances), de l’iconographie. Ils ambitionnent d’enrichir l’expérience de lecteurs, toujours plus nombreux, d’un œuvre hors du commun.

    Sommaire Éditorial Sabrina Parent, La poésie de François Jacqmin à la lumière de l’événement François Jacqmin, Aphorismes Gérald Purnelle, Voyager léger : François Jacqmin et l’aphorisme François Jacqmin, L’Interrogatoire
  • Choix de documents traduits et commentés par Jean A. STRAUS Après la conquête de l’Égypte par Alexandre (hiver 332-331 av. J.-C.), de nombreux hellénophones s’installent dans le pays, espérant y trouver la réussite. Ils apportent avec eux leur langue et leur mode de vie. L’esclavage fait partie de celui-ci. La mort de Cléopâtre en 30 av. J.-C. entraîne l’annexion du pays par Rome. Des Romains s’établissent en Égypte, mais le latin y est infiniment moins utilisé que le grec, langue pratiquée par l’élite romaine. Ces Romains emploient aussi les esclaves. Grecs, Romains et même Égyptiens rédigent sur papyrus et ostraca (tessons de céramique ou éclats de pierre), en grec ou en latin, une série de documents variés, officiels ou privés, dans lesquels apparaissent des esclaves. Dans ce livre, l’auteur présente un choix de ces documents écrits entre 30 av. J.-C. et 400 apr. J.-C. Ces documents illustrent de manière originale la vie des esclaves dans l’Égypte romaine sous les titres suivants : devenir esclave, changer de maître, l’esclave utilisé, l’esclave contribuable, l’esclave différent, l’esclave malfaiteur, l’esclave maltraité ou puni, l’esclave fugitif, l’esclave et ses maîtres, cesser d’être esclave. Chaque document est traduit et accompagné d’un commentaire qui en permet une bonne compréhension. Jean A. Straus est licencié en histoire ancienne de l’Université de Liège et docteur en histoire de l’École Pratique des Hautes Études de Paris. Il enseigne la papyrologie documentaire à l’Université de Liège. Il est l’auteur de nombreux articles et d’un livre sur l’esclavage dans l’Égypte romaine : L’achat et la vente des esclaves dans l’Égypte romaine. Contribution papyrologique à l’étude de l’esclavage dans une province orientale de l’empire romain (Munich-Leipzig, 2004).
  • L’apport des papyrus Textes rassemblés et édités par Marie-Hélène Marganne et Gabriel Nocchi Macedo

    Si, redécouvertes il y a un peu plus d’un siècle, la musique et la danse antiques connaissent ces dernières années un réel regain d’intérêt, notamment suite aux dernières découvertes archéologiques et papyrologiques, aucun volume en français accessible aux non-spécialistes, n’a montré jusqu’ici l’apport précieux de la papyrologie à la connaissance de ces disciplines immatérielles, mais combien suggestives pour des lecteurs duXXIe siècle, immergés, comme jamais auparavant, dans une société de loisirs, où l’image et le son ont pris tant d’importance. Tel est le but poursuivi par le no 10 des Cahiers du CEDOPAL, qui rassemble les exposés présentés lors de la journée d’étude internationale Musique et danse dans le monde gréco-romain : l’apport de la papyrologie, organisée le mardi 26 mars 2019 à l’Université de Liège.

    Directrice honoraire du CEDOPAL de l'Université de Liège, Marie-Hélène Marganne y a enseigné la papyrologie littéraire, la paléographie grecque et la langue grecque jusqu’en 2020. À la fois papyrologue, philologue classique et historienne de la médecine, elle est l'auteur de nombreuses publications sur les papyrus médicaux, la médecine gréco-romaine, le livre et les bibliothèques antiques.

    Directeur du CEDOPAL et chargé de cours en papyrologie grecque et latine à l’Université de Liège, Gabriel Nocchi Macedo est l’auteur de nombreuses publications dans les domaines de la papyrologie littéraire, de l’histoire du livre et de l’écriture et de la transmission et réception de la poésie grecque et latine.

     
  • Anthologie éditée par Séverine Orban Valentine PENROSE

    Valentine Penrose (1898-1978), poétesse et artiste française influencée par le mouvement surréaliste, côtoya les artistes et poètes de son temps tels que Miró, Picasso, Paul Éluard*, Max Ernst. Cette nouvelle anthologie de Penrose se veut innovatrice. Elle offre une collection de textes encore jamais publiés à ce jour: des vers de jeunesse, des poèmes inédits datant de la seconde guerre mondiale ou encore des séries poétiques inspirées par ses voyages en Inde et à Ténériffe. Au fil des pages, le lecteur découvre les multiples facettes de l'écriture d'une poétesse au langage déraisonnable, indispensable*: apparente simplicité? obscurantisme éclairé? À l’amateur de poésie d’en décider.

    Ancienne professeure de lettres dans une université américaine, Séverine Orban passe son temps entre sa recherche sur les poétesses influencées par le surréalisme dont Valentine Penrose et Irène Hamoir, l’enseignement de la méditation et l’écriture.

       
  • Textes rassemblés et édités par Marie-Hélène Marganne et Gabriel Nocchi Macedo avec la collaboration d’Heinrich Schlange-Schöningen Fruit de la collaboration des universités de Lorraine, de la Sarre, du Luxembourg et de Liège autour du projet Pratiques et stratégies alimentaires dans l’Antiquité tardive (IIIe - VIe siècles), le n°11 des Cahiers du CEDOPAL aborde un large éventail de sujets allant des habitudes alimentaires des empereurs Sévères et dans l’Égypte byzantine à la terminologie de l’alimentation chez saint Jérôme et dans les papyrus grecs et gréco-coptes d’Égypte, en passant par les recettes du célèbre traité de cuisine d’Apicius et par les repas des premières communautés chrétiennes et leurs critiques à propos des lectisternes et sellisternes romains. Portant un regard neuf sur la thématique de l’alimentation dans l’antiquité tardive, les contributions qui y sont rassemblées sont susceptibles d’intéresser tous les publics, aujourd’hui confrontés non seulement à de nouvelles pratiques alimentaires, mais aussi à la pollution, au gaspillage, aux risques d’insécurité alimentaire et aux solutions proposées pour y remédier, en ce compris des méthodes culturales, d’élevage et de traitement des denrées inspirées du passé. Directrice honoraire du CEDOPAL de l'Université de Liège, Marie-Hélène Marganne y a enseigné la papyrologie littéraire, la paléographie grecque et la langue grecque jusqu’en 2020. À la fois papyrologue, philologue classique et historienne de la médecine, elle est l'auteur de nombreuses publications sur les papyrus médicaux, la médecine gréco-romaine, le livre et les bibliothèques antiques. Directeur du CEDOPAL et chargé de cours en papyrologie grecque et latine à l’Université de Liège, Gabriel Nocchi Macedo est l’auteur de nombreuses publications dans les domaines de la papyrologie littéraire, de l’histoire du livre et de l’écriture et de la transmission et réception de la poésie grecque et latine.
  • Réponses aux épidémies dans le monde gréco-romain édité par Nathan CARLIG

    Issu d’une après-midi d’études organisée à l’Université de Liège le 6 mai 2021, le présent volume veut proposer à un large public un état de la question sur les réactions des Anciens face aux épidémies de leur temps, qui tienne compte des avancées récentes de la recherche, au croisement de la littérature, de la papyrologie, de l’histoire et de l’histoire de la médecine. Trois axes ont été privilégiés, qui reflètent les spécialités des trois auteurs. Bruno Rochette s’intéresse aux épidémies historiques comme motif littéraire et à son succès durant toute l’antiquité gréco-romaine, depuis Thucydide (Ve siècle avant notre ère) jusqu’à Procope de Césarée (VIe siècle de notre ère). Marie-Hélène Marganne analyse les stratégies thérapeutiques mises en œuvre dans le monde gréco-romain pour endiguer ces fléaux : médecine traditionnelle, médecine savante, magie et recours à la religion. Enfin, Antonio Ricciardetto scrute les indices d’épidémies dans les lettres privées grecques conservées sur papyrus. Le volume se complète de deux anthologies de textes grecs et latins, en traduction française : la première, par Bruno Rochette, répertorie les récits d’épidémies dans les textes historiques, poétiques et chrétiens, tandis que la seconde, par Marie-Hélène Marganne, rassemble les textes médicaux qui traitent d’épidémies écrits par les plus grands médecins antiques, au premier rang desquels Hippocrate et Galien. Une abondante bibliographie mise à jour conclut le volume.

    Formé à la philologie classique, à la papyrologie et à la coptologie à Liège, Paris et Rome, Nathan Carlig est actuellement collaborateur scientifique au Centre de Documentation de Papyrologie Littéraire (CEDOPAL) de l’Université de Liège. Ses recherches portent principalement sur les relations entre paideia et christianisme et sur l’histoire du livre et de l’écrit dans le monde gréco-romain et l’Antiquité tardive.

  • par Michel DELVILLE & Gérald PURNELLE (dirs)

    Créée en 2002, la revue Formes poétiques contemporaines étudie la poésie des XXe et XXIe siècles dans sa dimension formelle. La forme est ici conçue comme ressortissant à l’ensemble des plans qui relèvent de la dimension linguistique, infra-linguistique et/ou visuelle du texte, et qui se prêtent à l’observation et à la description méthodiques. FPC accueille des articles de réflexion et d’analyse scientifique dans des dossiers thématiques, mais aussi des contributions des poètes eux-mêmes.

    L’effacement Louis Armand | David Caplan | Michel Delville | Francis Édeline | Geneviève Guetemme | Daisy Sainsbury | Leah Souffrant | Claus Telge | Kwasu David Tembo |NourbeSe Philip | Jacques Roubaud | Laurine Rousselet | Uljana Wolf

    Parole aux poètes John M. Bennett | Crystal Hurdle | Gian Lombardo | Jane Monson | Élisabeth Waltregny, Michel Delville

  • De la prise en compte à l’agentivité par Yves Denéchère

    La Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE) de 1989 a reconnu aux enfants le droit d’expression, le droit d’opinion et le droit d’association (articles 12 à 15). À l’occasion du 25e anniversaire de ce grand texte juridique (2014), estimant la parole de l’enfant « innovante et nécessaire », l’UNICEF a donné la parole à des enfants du monde afin qu’ils puissent dire leurs rêves et leurs souhaits pour le XXIe siècle. La journée internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 2017 a été placée par l’ONU sous l’égide de la question : « Êtes-vous prêts à entendre ce que les enfants du monde ont à dire ? ». Au-delà de ces manifestations ponctuelles qui donnent lieu à des actes symboliques très politiques et médiatiques, le recueil de la parole des enfants est aujourd’hui considéré comme un des enjeux forts de l’effectivité des droits de l’enfant. L’objectif de cet ouvrage est de confronter les diverses formes de prise en compte de la parole de l’enfant avec la notion d’agentivité des enfants, c’est-à-dire – au-delà de leur expression – leur capacité à être des agents actifs de leur propre vie, à exercer un contrôle et une régulation de leurs actes. La notion d’intérêt de l’enfant se trouve ainsi au coeur du dialogue interdisciplinaire et des réflexions portées par les auteur.e.s de ce volume. Dans les différentes contributions, les enfants sont perçus comme des acteurs et non comme des êtres passifs, dépendants ou incomplets ; comme des membres à part entière de la société et pour ce qu’ils sont en tant qu’enfants aujourd’hui, et pas seulement pour ce qu’ils seront demain. Les différentes sciences sociales mobilisées (droit, science politique, linguistique, archivistique, sociologie, psychologie, sciences de l’éducation, géographie) abordent les questions de la parole des enfants selon des angles variés (apprentissages, genre, famille, justice, migrations, travail) et à différentes échelles (locales, nationales, transnationales), en privilégiant l’expérience quotidienne de ces derniers.

    Yves Denéchère, professeur d’histoire contemporaine à l’Université d’Angers, dirige l’unité de recherche TEMOS (CNR S) et le programme de recherche EnJeu[x] Enfance et Jeunesse. Ses travaux portent sur l’histoire contemporaine des enfants à l’échelle transnationale : migrations contraintes, droits de l’enfant, adoption internationale, parrainages humanitaires.

  • Politiques d’inclusion sociale et agriculture familiale en Argentine

    par Frédéric GOULET

    Les technosciences sont parfois accusées d’évoluer dans leur tour d’ivoire, sans suffisamment prendre en compte les grands défis auxquels les sociétés font face. Comment les États et les politiques publiques peuvent-ils dès lors favoriser et organiser ce rapprochement entre sciences et sociétés ? Et quels rôles peuvent jouer les chercheurs et les ingénieurs dans ces évolutions ? Depuis la perspective d’une sociologie politique des sciences et des techniques, cet ouvrage tente d’apporter des réponses à ces questions. Il nous conduit pour cela dans l’Argentine des années 2000, en explorant les dynamiques qui ont accompagné la promotion de recherches en faveur de l’inclusion sociale des publics vulnérables. Il se penche en particulier sur les initiatives qui ont cherché à orienter la recherche agricole en faveur de l’agriculture familiale, notion incarnant les petits producteurs laissés pour compte des politiques publiques et des avancées technologiques. Cette enquête revient sur les ressorts et les effets de cette mobilisation, à l’interface entre les sphères politiques et scientifiques. Elle montre comment l’enjeu de renforcer l’utilité sociale des recherches est venu questionner les frontières entre les métiers et spécialités au sein des organisations scientifiques et techniques. Elle souligne par ailleurs les débats liés à la tentation de traiter « à part » les publics vulnérables, alors même que l’objectif affiché est de favoriser leur inclusion au sein de la société. Ce livre ouvre ainsi des pistes pour penser les formes contemporaines d’articulation entre science et politique, et propose une analyse originale des politiques scientifiques menées par les gouvernements de gauche en Argentine au cours des années 2000.

    Frédéric GOULET est sociologue, chercheur au sein du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD). Ses recherches portent sur l’innovation technique en agriculture et les transformations contemporaines de la recherche agricole, en France et en Amérique latine.

  • Analyse comparée de la Belgique, la France et le Canada

    par Céline PAROTTE

    Que faire de nos déchets hautement radioactifs ? Comment gérer ces objets toxiques à la fois pour l’homme et l’environnement, dont la durée de vie s’étend sur des milliers, voire des millions d’années ? Au cours des trois dernières décennies, les institutions chargées de gérer les déchets nucléaires ont organisé de nombreuses consultations publiques sur le sujet. Plus récemment, ces dispositifs se sont ouverts à des acteurs jusqu’alors exclus du processus de décision, comme les représentants du monde associatif, de la vie politique locale ou encore des citoyens dits « ordinaires ». Que retenir de ces expériences ? En quoi ont-ils contribué à modifier la gestion des déchets hautement radioactifs ? Contestés, stockés ou simplement oubliés, les déchets nucléaires ont une vie politique que cet ouvrage se propose d’analyser en comparant leur situation en Belgique, en France et au Canada, de 1990 à nos jours. S’appuyant sur des auteurs comme Michel Foucault ou Sheila Jasanoff, il analyse les échecs et les succès de trois politiques publiques de gestion qui ont chacune mené au choix d’enterrer les déchets nucléaires. Le livre dévoile les différentes stratégies déployées dans le temps tant par les autorités publiques que par les producteurs de déchets et en questionne les limites. Il met aussi en évidence les résistances et le pouvoir d’action des populations concernées par les projets d’enfouissement. Au fil des pages, c’est à l’élaboration d’un véritable art de gouverner que l’on assiste : on découvre l’association systématique du déchet hautement radioactif à une option pour sa gestion de long terme, mais aussi la difficulté pour les experts de rester indépendants lorsqu’il s’agit d’évaluer dans la durée un projet controversé, ou encore les types de savoirs qui influencent, de manière inégale, les décisions politiques aux niveaux national et local. Ce faisant, l’ouvrage décrypte les rapports de force qui sous-tendront les décisions durant les années à venir, que ce soit sur le type de déchets à enterrer et le mode de dépôt à imaginer, sur la capacité d’action des populations concernées et des experts embarqués dans le futur, ou sur les évaluations et les contrôles encore à opérer. Et si l’art de gouverner les déchets hautement radioactifs était l’art d’expérimenter ?

    Céline PAROTTE est Docteure en sciences politiques et sociales au Centre de recherches Spiral de l’Université de Liège. Elle mène des recherches sur des projets technologiques controversés depuis 2009.

  • Enquêter avec les modes d'existence de Bruno Latour

    par François THOREAU et Ariane D’HOOP (dirs)

    Ce livre relaie plusieurs situations d’enquête. On y croise, pêle-mêle, des projets défendus par des architectes, un lieu de soins psychiatriques en réaménagement, la conception d’un dispositif algorithmique de surveillance, le terrain d’une lutte opposant les mineurs britanniques aux forces de police, un viticulteur aux prises avec les conséquences de l’insaisissable dérèglement climatique, ou encore une artiste cherchant à rendre compte de la fabrique d’images comme pièces à conviction lors d’un procès pour génocide. Toutes ces enquêtes ont pour point commun d’être traversées par des incertitudes sur les entités qui y sont mobilisées. Quels sont leurs gradients de réalité ? Comment qualifier leur qualité d’existence? En quoi ces entités importent-elles dans tel cas précis et quelle différence y font-elles ? Que la situation mette en jeu des processus d’apprentissages automatisés par des machines, les aménagements d’un lieu qui le rendent propice au soin, ou encore l’avènement progressif de formes architecturales, l’enquête s’enrichit à être attentive à de telles entités et à leurs existences fragiles. Pour aborder ces questions vitales, le présent ouvrage s’appuie sur la proposition d’enquête formulée par Bruno Latour dans l’Enquête sur les modes d’existence. Les modes d’existence permettent toutes sortes d’explorations inattendues. Ils amènent à discerner progressivement certaines des puissances d’agir en jeu, qui pourraient si facilement être négligées. Chaque contribution propose, de façon expérimentale, des manières de qualifier les enjeux qui comptent dans chaque situation. Chemin faisant, il s’agit de se rendre attentifs à ne pas piétiner la façon dont ces entités peuplent leurs mondes respectifs et contribuent à en faire des lieux habitables.

    Ariane d’HOOP est docteure en anthropologie (UvA, Amsterdam) et en architecture (ULB, Bruxelles).

    François THOREAU est chercheur postdoctorant (ULiège) et professeur invité (UMons).

    Depuis 2013, ils coordonnent le collectif du « Petit groupe du Grand Gagnage » (P3G), qui réunit des chercheuses.eurs en sciences sociales, en philosophie et en art. Ils explorent en commun des ouvrages d’anthropologie, de ‘sciences studies’ et de philosophie pragmatiste, tout en les reliant aux enquêtes qui les mettent au travail.

  • TRACES 13 par COLLECTIF Jean-Louis DUMORTIER, Simenon à l’écran Marc-E. MELON, Point de vue et point d’écoute dans l’écriture « cinématographique » de Georges Simenon Michel CARLY, Romans de Simenon et films français des années trente aux années cinquante : confluences et disparités Philippe PROOST, Que le vrai Maigret se lève !… ou pourquoi avoir réalisé un montage vidéo sur L’Affaire Saint-Fiacre ? Lucille F. BECKER, Du roman au film Michel SERCEAU, L’adaptation comme réception : Panique et Les Fiançailles de M. Hire Michel LIEMANS, Utilisations pédagogiques de l’adaptation cinématographique : l’exemple de « Monsieur Hire » Bernard ALAVOINE, D’Équateur de Gainsbourg à Coup de lune d’Eduardo Mignogna Paul Mercier, L’enfant de chœur et le missel, dans L’Affaire Saint-Fiacre. Pacte dénégatif et secret des hommes Christian NEYS, Simenon ou l’écriture photographique
  • Traces 6

    15,00
    par COLLECTIF

    Simon LEYS, Discours de réception à l’Académie royale de langue et de littérature françaises Alain BERTRAND, Simenon et la création littéraire André MAUPRAT, D’Eugénie Grandet à La Marie du Port Marie-Paule BOUTRY, La fuite Anne MATHONET, Jeux de regards Paul MERCIER, Quand un motif ridicule devient une question vitale ou Le rêve de Maigret et les témoins récalcitrants Michel LEMOINE, Les Fantômes de Mademoiselle Augustine Claude MENGUY, Connaissez-vous … Le Locataire clandestin ? Bernard ALAVOINE, Roger Nimier, lecteur de Georges Simenon Gaston MARINX, Georges Simenon et sa « liégitude » Christian JANSSENS, Maigret à la télévision ou Le spectateur et le commissaire Michel LEMOINE et Christine SWINGS, Inventaire des ouvrages de Simenon parus en volumes sous pseudonymes et conservés au Fonds Simenon

  • TRACES 5 par COLLECTIF Jean FABRE, Le propre de la neige Michel LEMOINE, Quelques particularités toponymiques dans l’oeuvre romanesque de Georges Simenon Marie-Claire DESMETTE, Les aveux de Madame Maigret (extraits d’un roman en préparation) Paul MERCIER, Simenon et Freud Daniel LAROCHE, Dédales et significations du regard dans les romans de Simenon Michel LEMOINE et Christine SWINGS, Inventaire des textes manuscrits de Simenon (suite) Michel LEMOINE, Simenoniana
  • Traces 4

    15,00
    par COLLECTIF Jean FABRE, Le propre de la neige Michel LEMOINE, Quelques particularités toponymiques dans l’oeuvre romanesque de Georges Simenon Marie-Claire DESMETTE, Les aveux de Madame Maigret (extraits d’un roman en préparation) Paul MERCIER, Simenon et Freud Daniel LAROCHE, Dédales et significations du regard dans les romans de Simenon Michel LEMOINE et Christine SWINGS, Inventaire des textes manuscrits de Simenon (suite)
  • TRACES 3 par COLLECTIF Jacques DUBOIS, Situation de Simenon Jacques DE DECKER, Le paradis du paradigme Claude DIRICK, Georges Simenon et André Gide Waclaw RAPAK, Une lecture existentielle d’Une Confidence de Maigret de Georges Simenon René ANDRIANNE, Trois écrivains aux U.S.A. : Camus, Sartre, Simenon Bernard ALAVOINE, De Camus à Simenon : le héros et l’étrangeté Michel LEMOINE, Évolution et parentés littéraires de Simenon selon la critique de 1931 à 1935 Jean FABRE, Simenon, Céline et Borges Alain BERTRAND, Georges Simenon et le genre policier Pierre DELIGNY, La place de Simenon dans les dictionnaires et les encyclopédies Paul MERCIER, Simenon sociologue ? Simenon, sociologue raté ou les deux bouts de la vie

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