• par GILLET, Robert

    "Robert Gillet, par son admirable don d'auteur, nous plonge dans cette pièce animée du grand théâtre de la Science ! Tous ceux qui auront la chance de lire ce livre, ne l'oublieront jamais !" C'est ainsi que le professeur Arsène Burny termine la préface de cet ouvrage, lequel nous relate l'histoire des dix-huit mois qu'ont mis Crick et Watson pour élucider la structure chimique de l'ADN, acide désoxyribonucléique. Découverte qui n'a d'égales que celles de Galilée, Newton, Darwin ou Einstein. Histoire d'une démarche scientifique, que l'auteur a tenté de mettre à la portée du grand public. Histoire surtout d'une tranche de vie(s) qui a tout du roman. Pour la raconter, l'auteur l'a semée de nombreux et vigoureux dialogues. Histoire de deux chercheurs que la destinée réunit pour assouvir la passion qui les dévorait : percer un mystère, profond pour beaucoup, sacré pour certains : le Secret de la Vie. Nous sommes en 1951, dans l'inconfort anglais de l'après-guerre. Chez les biologistes, et tout qui se donne la peine de réfléchir, se pose toujours la question de savoir pourquoi nous sommes des humains et pas des souris, pourquoi nos enfants sont eux aussi des humains, et pas des hirondelles. Deux chercheurs de l'Université de Cambridge, Francis Crick et James Watson, décident de s'y attaquer. Les étapes de la recherche apparaissent successivement dans l'ouvrage, on voit comment peut progresser une réflexion. Mais ce qui passionne également est le côté humain de l'aventure : elle fut un vrai roman. Rien n'a manqué : la soif de découvrir, l'ambition, la rivalité, l'amitié mais aussi l'exécration, et plus tard la polémique. La tragédie même, avec la disparition prématurée d'une des protagonistes. Aussi dissemblables qu'ils soient, réunis par le plus grand des hasards, Francis Crick et James Watson vont former une paire étonnamment complémentaire, quasi fusionnelle. Et pourtant pour eux les choses ne sont pas simples au Cavendish, le laboratoire de physique de Cambridge ; ils y font figure de francs-tireurs. Engagés pour d'autres tâches c'est dans une semi-clandestinité qu'ils s'informent et réfléchissent. Et quand ils s'égarent ils ne doivent compter que sur eux-mêmes.

    A propos de l'auteur

    Robert GILLET est ingénieur chimiste et des bioindustries, diplômé en 1955 de la Faculté des Sciences agronomiques de Gembloux. Il a oeuvré durant sa carrière dans le contrôle officiel des denrées alimentaires.

  • par Atelier Sorcier ASBL

    Synthèse d'un travail entre des professeurs de la Faculté des Sciences agronomiques et l'Atelier Sorcier, Centre d'Expression et de Créativité, cette brochure reprend les réalisations des enfants sur base des explications scientifiques reçues.

    Avant propos (extrait)

    Pour le deuxième numéro de "La science infuse... l'art", l'Atelier Sorcier aborde avec la Faculté universitaire des Sciences agronomiques deux piliers de la nature qui nous entoure : l'arbre et l'eau. Deux éléments fondamentaux du monde vivant et du développement durable mais ici, vus chacun sous un angle bien déterminé, à des échelles opposées (du microscopique à la grandeur nature) dans un objectif artistique précis. Des images réelles expliquées en langage compréhensible mais rigoureux par des scientifiques qui maîtrisent bien leur sujet et qui acceptent le jeu. André Théwis, Recteur de la Faculté universitaire des sciences agronomiques de Gembloux. . Alors que les enfants écoutent, regardent, touchent, interrogent, s'émerveillent, interprètent et recréent à leur façon avec des outils artistiques et l'aide des animatrices. "La science infuse... l'art", un moyen ludique de créativité pour comprendre le monde du vivant et dans ce cas précis, les interactions entre les éléments du vivant. Mieux comprendre et connaître la nature pour mieux la respecter demain en tant que citoyen responsable.

  • Guide pratique à l'attention des membres de la communauté universitaire par THYS Laurence

    Depuis plusieurs années, les universités et académies universitaires de la communauté française de Belgique sont engagées dans une politique dynamique en faveur de l'Open access, ce mouvement qui promeut un accès libre et gratuit à l'information scientifique grâce notamment aux nouvelles technologies de l'information et de la communication. Dans ce contexte, à l'instar de nombreuses autres institutions universitaires, elles ont chacune créé un répertoire et une bibliographie institutionnels dans lesquels leurs membres sont tenus d'archiver les références et, autant que possible, la version électronique intégrale des documents qu'ils ont publiés. Au cours du développement de ces répertoires, il est apparu que la communauté universitaire était peu sensibilisée aux aspects de propriété intellectuelle de la publication scientifique généralement parce qu'elle en méconnait soit les principes, soit les enjeux. C'est à cette occasion que ce guide a été rédigé initialement au sein de l'Université de Liège dans le cadre de la mise en place de son propre répertoire ORBi. Il a pour objectif de décrire, à larges traits, les grands principes du droit d'auteur et leurs implications dans le domaine particulier de la production scientifique. Il se divise en deux parties. La première envisage la rédaction d'une oeuvre scientifique et évoque les droits susceptibles de protéger une création, les autorisations éventuelles à solliciter et les sanctions encourues en cas de violation des droits de l'auteur. La deuxième partie de l'ouvrage aborde la publication de l'oeuvre et examine les relations contractuelles qui se lient entre un auteur et un éditeur d'une part et de l'autre, entre cet auteur et l'institution qui l'emploie dans l'hypothèse d'un dépôt de l'oeuvre dans un répertoire institutionnel. Un chapitre est également consacré au mouvement Creative commons et à la diffusion d'une oeuvre grâce aux licences spécifiques que cette organisation propose. L'ouvrage s'adresse avant tout aux auteurs scientifiques en espérant qu'il les rendra plus conscients des droits d'auteur qui protègent une oeuvre de sorte qu'ils n'y renoncent plus systématiquement au profit des éditeurs.

    A propos de l'auteur

    Laurence THYS est juriste et membre de l'équipe scientifique de la Bibliothèque de droit, économie et sciences sociales Léon Graulich de l'Université de Liège.

  • par Atelier Sorcier ASBL

    Synthèse d'un travail entre des professeurs de la Faculté des Sciences agronomiques et l'Atelier Sorcier, Centre d'Expression et de Créativité, cette brochure reprend les réalisations des enfants sur base des explications scientifiques reçues. Nos universités ont aujourd'hui trois missions à remplir : l'enseignement, la recherche et le service à la Société. Notre partenariat avec l'Atelier Sorcier, Centre d'Expression et de Créativité, dans le projet Art et Science, relève de la troisième mission. C'est avec enthousiasme et disponibilité que cette mission est assumée lorsqu'elle est partagée avec des interlocuteurs avides de savoirs, curieux à la fois de comprendre la Terre, la Nature, la Vie qui les entoure et de créer ensuite à partir de ce que les scientifiques leur ont expliqué, montré, voire leur ont fait expérimenter au laboratoire. C'est alors pour ces derniers un immense moment de bonheur ; leurs explications ont trouvé une oreille attentive à leurs travaux. Partir des cent pattes pour aboutir au magnétisme et la dérive des continents ! Qui aurait pu imaginer une telle démarche ? De quoi s'agit-il ? Nous baignons dans le champ magnétique terrestre sans nous en rendre compte la plupart du temps. Ses lignes de force nous transpercent le corps en même temps qu'il nous protège des effets nuisibles des rayons cosmiques et des particules solaires à haute énergie. Sans lui toute vie sur la Terre serait impossible. Qui plus est, il aligne les aiguilles des boussoles pour nous guider. Les oiseaux "verraient" le champ magnétique terrestre et ses variations tout comme un automobiliste voit le plan des rues qu'il sillonne sur son GPS. Et pourtant, on ne sait pas tout de ces phénomènes ; l'origine du champ magnétique terrestre n'est pas encore complètement élucidée nous disent les scientifiques. Il y a encore beaucoup de recherches à mener dans les laboratoires. On est loin de tout connaître. C'est cela la Science. Pourtant de retour à l'Atelier, il faudra créer. Et là, on peut faire confiance aux Hommes, des jeunes aux moins jeunes. Regardez plutôt les pages suivantes. Professeur André Théwis, Recteur de la Faculté universitaire des Sciences agronomiques de Gembloux.

  • par Atelier Sorcier ASBL

    Notre société a longtemps cherché à séparer l'art de la science, jugeant ces deux disciplines résolument divergentes. A première vue, la subjectivité de l'art et l'impartialité des sciences peuvent paraître contradictoires. Mais l'une comme l'autre touchent pourtant à la pensée, à l'intuition, à la sensibilité, à l'imagination. L'art, comme la science semblent nous parler avant tout de l'homme et de son rapport à la vie. L'artiste dans son atelier et le scientifique dans son laboratoire sont animés d'une même curiosité, d'un même esprit créatif et non-conformiste. Au travers de leurs œuvres et de leurs recherches, ils contribuent à un désir identique de comprendre le monde, et de nous le rendre intelligible. Et c'est justement parce que l'art et la science nous offrent des manières différentes mais complémentaires d'appréhender la réalité dans toute sa complexité que je suis convaincu que les deux disciplines peuvent mutuellement s'enrichir.

    Je suis donc très heureux que notre Université participe au projet "Art et Science" qui encourage, depuis plusieurs années déjà, une démarche similaire auprès des jeunes. Cette collaboration entre art et sciences ne peut qu'éveiller leur curiosité, favoriser leur épanouissement, stimuler leur créativité et permettre un foisonnement de questions et de nouvelles idées.

    Professeur Eric Haubruge, Vice-Recteur de l'Université de Liège/Gembloux Agro-Bio Tech.

  • Synthèse d'un travail entre des professeurs de la Faculté des Sciences agronomiques et l'Atelier Sorcier, Centre d'Expression et de Créativité, cette brochure reprend les réalisations des enfants sur base des explications scientifiques reçues.

    Avant-propos

    De tous les éléments que la Nature nous offre pour vivre quotidiennement, l'air est le seul que nous utilisons sans y réfléchir. Nous pensons à boire et à manger, jamais à respirer. L'air n'est ni palpable, ni visible ; on en oublierait l'existence. Et pourtant... L'aventure décrite dans ce troisième fascicule de "La science infuse... l'art" commence il y a des milliards d'années par le Big Bang à l'origine, bien plus tard, des Planètes, dont la nôtre, pour se terminer dans l'infiniment petit à l'échelle des molécules. A nouveau, nos petits bio-explorateurs ont interrogé, regardé, expérimenté pour mieux comprendre ce gaz mystérieux qui nous enveloppe. Par un discours précis et compréhensible de la part des scientifiques, par quelques expériences simples mais très démonstratives, par des examens au microscope, les petits bio-explorateurs comprennent ce qu'est l'air, ce qu'il véhicule, comprennent les menaces qui pèsent sur lui. Ensuite avec leur animatrice, les bio-explorateurs se transforment en bio-créateurs, représentant par diverses techniques ce qu'ils ont vu, perçu, imaginé. Par des traits, des formes et des couleurs, ils se plongent au cœur même de l'actualité brûlante en imaginant ces drôles de machines volantes qui, à l'image des plantes, consomment du dioxyde de carbone et rejettent de l'oxygène et donc ne polluent pas. Quelle belle symbiose que l'Art et la Science ! On ne s'en lasse jamais.

    André Théwis, Recteur de la Faculté universitaire des sciences agronomiques de Gembloux.

  • par Atelier Sorcier ASBL

    Synthèse d'un travail entre des professeurs de la Faculté des Sciences agronomiques et l'Atelier Sorcier, Centre d'Expression et de Créativité, cette brochure reprend les réalisations des enfants sur base des explications scientifiques reçues. Y sont abordés des thèmes comme l'évolution, le nombre d'or, la physiologie...

    Avant-propos

    Les Sciences du vivant pratiquées dans une Faculté de Sciences agronomiques, consistent à comprendre le monde qui nous entoure : les microbes, les plantes, les animaux, la terre, l'eau, l'air, ainsi que leurs interactions avec l'Homme. Ceci en vue d'agir pour améliorer le bien-être des populations.

    Nous avons besoin de jeunes scientifiques pour le développement social et économique de notre région, de notre pays, de l'Europe mais aussi pour celui des populations des pays les moins avancés.

    Dès lors, quoi de plus naturel pour une Faculté comme la nôtre où les enseignants et les chercheurs sont sensibilisés au jour le jour à la beauté de la nature, à sa complexité, aux menaces qui pèsent sur elle et aux défis du développement durable, que de mettre en contact les jeunes avec les scientifiques ; quoi de plus efficace que de les plonger dans l'atmosphère de nos laboratoires pour leur expliquer en toute simplicité et objectivité quelques phénomènes naturels remarquables et surtout pour les aider à développer la créativité personnelle et l'aptitude à s'enthousiasmer, à écouter, à découvrir voire déjà à critiquer.

    Entendons-nous bien : il ne s'agit nullement de vouloir faire de ces jeunes à tout prix de futurs scientifiques mais tout simplement de futurs citoyens à l'esprit ouvert et soucieux de plus de démocratie dans ce monde de plus en plus interpellé par les innovations technologiques qui marqueront ce 21e siècle.

    Les pages qui suivent, illustrent par des exemples, l'habileté des jeunes à mettre en oeuvre par le jeu des lignes, des formes et des couleurs, ce qu'ils ont perçu des explications que leur ont données des bioingénieurs de Gembloux.

    Merci à l'Atelier Sorcier d'avoir suscité ces rencontres, merci à nos scientifiques pour leur esprit d'ouverture, merci aux enfants et aux adolescents pour leur curiosité des choses du monde du vivant et leur esprit créatif.

    Professeur André THEWIS,

    Recteur de la Faculté universitaire des Sciences agronomiques de Gembloux.

    Préface

    L'art et la science sont, dans le sens commun, des notions souvent opposées. A l'Atelier Sorcier, on réconcilie ces deux mondes de manière fort pertinente.

    Les différents projets décrits dans cette brochure constituent autant d'exemples concrets de la façon dont on peut aborder des questions scientifiques par le biais du "sensible" et de l'imaginaire. En lisant ces pages, on prend conscience que la science constitue un réservoir inépuisable d'images auquel les projets créatifs peuvent s'alimenter.

    Mais plus important, on comprend que loin de s'opposer, l'art et la science se rejoignent lorsqu'on découvre que la nature, telle une artiste, recourt au fameux nombre d'or qui, depuis l'antiquité, symbolise pour l'architecte ou le sculpteur l'équilibre parfait des formes.

    Et à partir de là, c'est notre propre rapport à la nature qui bascule. Plutôt que de toujours chercher à la dominer, lui imposer notre ordre, on a envie de la comprendre et de vivre en harmonie avec elle.

    Patricia GERIMONT,

    Chargée de Mission,

    Ministère de la Communauté française,

    Service de l’Éducation permanente et des Centres d'Expression et de Créativité.

  • par Planète Femmes Introduction (extrait)

    "Ils étaient huit et venaient de pays différents et éloignés : Gabon, Iran, Niger, Tunisie, Centrafrique, Pérou ; une participante était belge. Ils s'appelaient Nadège, Jean-Urbain, Leila, Wahida, Prisca, Michelle, Caroline et Juliane. C'était comme si une partie du monde se retrouvait dans un local de la Maison Nord-Sud, penchée sur des feuilles, à écouter sa voix intérieure, à écrire, à se dire et se lire... Tous les participant(e)s ont pris le risque de coucher les mots sur la feuille, de parler de leur vie, de leurs sentiments, parfois de leur nostalgie. Le résultat est dans ce livre : des textes vrais, simples, étonnants". J. De Ridder.

  • Problématique, acquis scientifiques et technologiques, perspectives. par Conseil du Coton et de l'Anacarde Actes du colloque international d'échanges scientifiques sur l'anacarde. Bassam (Côte d'Ivoire), 26-28 octobre 2017.
  • par JADOT, René

    Atlas d'identification des principaux pucerons trouvés sur betterave, chaque espèce étant représentée sous forme aptère et ailée, dessinée au trait avec une remarquable précision.

  • par PATERSON, Peter D.

    Ce livre traite de la bonne conduite des ruchers en région tropicale, selon les possibilités d'investissement de l'apiculteur. Grâce à de nombreuses années d'observation et d'expérience aux côtés d'apiculteurs de toute l'Afrique et dans son rucher au Kenya, Peter David Paterson décrit avec précision comment réaliser et utiliser le matériel apicole, comment récolter et traiter les produits de la ruche. Dans un langage simple et pédagogique, complété d'une iconographie originale, l'auteur expose les méthodes les plus traditionnelles jusqu'aux techniques les plus avancées de l'apiculture. Cet ouvrage éminemment pratique s'avérera indispensable pour les apiculteurs déjà installés et pour ceux désireux de se lancer dans cette activité.

  • par CORNETTE, Bruno et LEBAILLY, Philippe

    Cet ouvrage est le prolongement d'une étude réalisée pour le Ministère de la Région wallonne et l'Union européenne, qui visait à analyser la rentabilité d'un élevage d'autruches en Belgique. La viande d'autruche fraîche fait partie intégrante de l'assortiment des rayons de nos supermarchés depuis quelques années. La demande est en forte croissance. Cette viande concilie gastronomie et diététique par sa faible teneur en graisse, sa haute teneur en protéines et sa grande tendreté. L'approvisionnement du marché européen a essentiellement pour origine l'Afrique du Sud. Cependant depuis les années nonante, on observe une réelle diversification géographique de la production et l'espèce s'acclimate très bien dans les pays à climat tempéré. La Belgique compte actuellement entre 120 et 150 élevages, pour un cheptel estimé à 5000 animaux. Outre la valorisation très prometteuse de la viande, on notera également celle du cuir et, dans une plus faible mesure, celle des plumes. Ce livre s'adresse à un large public : éleveurs, chercheurs, décideurs, acteurs financiers. En particulier, il a pour but d'éclairer le candidat éleveur désireux de s'investir dans l'élevage d'autruches, ce qui implique une bonne connaissance des exigences et de la technicité d'une telle spéculation. Il faut également être conscient du fait que le marché de l'autruche évolue rapidement et devrait aussi connaître des périodes de conjonctures moins favorables. Dans ce cas, les analyses économiques réalisées dans cet ouvrage montrent, en prenant l'exemple d'une ferme élevage-engraissement, qu'une évaluation raisonnée de la rentabilité constitue un préalable à une décision d'investissement.

    Table des matières

    1. Biologie de l'autruche : systématique, morphologie, anatomie et physiologie, habitat naturel et écologie, reproduction. 2. Dispersion de l'autruche dans le monde : historique, la répartition géographique à l'état sauvage, la production mondiale. 3. Les techniques d'élevage : les infrastructures, la reproduction, l'alimentation, les réglementations en vigueur. 4. Les produits de l'élevage : les reproducteurs, le cuir, la viande, les plumes, le tourisme, les éléments relatifs à la législation et à la fiscalité. 5. La rentabilité de l'élevage de l'autruche en Belgique. 6. Conclusions générales. Bibliographie. Annexes.

  • par FERRATON, Nicolas et TOUZARD, Isabelle

    Près de 1,4 milliard de personnes travaillent dans l'agriculture, dont 96 % vivent dans les pays du Sud. La plupart des exploitations agricoles de ces régions sont familiales et pauvres. L'agriculture familiale est donc au cœur d'un formidable enjeu socio-économique et doit permettre aux populations de rester ou de retourner dans les campagnes et éviter l'exode massif vers les grandes villes. Cet ouvrage est consacré à l'analyse et au diagnostic des systèmes de production, auxquels ont recours la majorité des travaux de terrain pour le développement agricole. Il propose une démarche et des outils permettant de décrire les choix et les pratiques des agriculteurs en matière de production, de transformation et de commercialisation, d'en comprendre la cohérence et d'en identifier les moteurs techniques et socio-économiques. La démarche est illustrée, dans un cédérom, par une étude en Haïti qui montre, étape par étape, la façon de conduire ce type de diagnostic et son intérêt pour les personnes concernées, y compris les techniciens appelés à accompagner le développement de telles régions. D'autres études de cas réalisées sur différents continents, sont également repris sur le cédérom. Ce manuel de 120 pages + cédérom s'adresse à tous les acteurs qui apportent leur appui au monde agricole. Il les aidera à diagnostiquer les systèmes de production et à trouver des solutions pour les améliorer.

    A propos des auteurs

    Nicolas FERRATON, ingénieur d'agronomie tropicale, est responsable de projets de développement dans le Pacifique. Au Centre national d’Études agronomiques des Régions chaudes (Cnearc), il a élaboré différents manuels sur l'étude des systèmes agraires.

    Isabelle TOUZARD est ingénieur agronome. Responsable de projets en ingénierie de formation à l'Institut des Régions chaudes de Montpellier SupAgro, elle a animé de nombreuses formations sur l'approche systémique en Afrique, en Amérique centrale, dans la Caraïbe et en Asie.

  • par ROISIN, Paul

    Cet ouvrage, qui est un modèle d'enquête phyto-sociologique et synécologique menée avec une grande rigueur, s'adresse aussi bien aux forestiers qu'aux botanistes, enseignants et étudiants. L'auteur a eu recours à l'écologie, la phytosociologie et la phytogéographie pour mieux comprendre les forêts de la Moyenne Belgique et de l'Entre-Sambre-et-Meuse en les situant dans le cadre bioclimatique du Domaine atlantique européen. L'inventaire des groupements végétaux de ces forêts et leur interprétation ont permis à Paul ROISIN de formuler de nouvelles propositions de délimitation et de subdivision du Domaine atlantique européen.

    Table des matières

    Le Domaine atlantique : délimitation, subdivisions, données phytogéographiques et position dans le système des climats. Les réactifs floristiques du Domaine atlantique : subdivisions, listes et écologie des plantes atlantiques. Dispersion et écologie de l'Endymion nutans : aire florale en France et en Belgique, auto-écologie et relations chorologiques avec quelques espèces d'autres cortèges. Extension et dispersion du hêtre dans le Domaine atlantique. Les associations du hêtre dans la partie moyenne du Domaine atlantique, leur signification climatico-géographique. La structure du Domaine atlantique : les Sous-domaines eu-atlantique, médio-atlantique et boréo-atlantique. Bibliographie.

  • par GENNOTTE, Vincent et PRIGNON, Christian

    En divers endroits de Wallonie, l'altération de l'intégrité écologique de nos rivières a conduit, par le passé, à la raréfaction de certaines espèces de poissons, en particulier des espèces patrimoniales écologiquement sensibles comme les cyprinidés rhéophiles. Si la qualité physico-chimique et hydromorphologique de l'habitat s'est aujourd'hui améliorée, ou est en voie de retrouver un niveau satisfaisant dans de nombreux cours d'eau, la recolonisation piscicole naturelle est parfois lente et des repeuplements de restauration ou de soutien sont nécessaires pour accélérer ce processus ou le faciliter dans les secteurs les plus isolés.

    La production de juvéniles destinés au repeuplement nécessite la maîtrise de l'ensemble des phases d'élevage : la reproduction des géniteurs, l'élevage larvaire, le grossissement des juvéniles jusqu'à la taille commercialisable, ainsi que la croissance et la maturation sexuelle de poissons captifs constituant des nouveaux stocks de reproducteurs. Après une description de la biologie du barbeau, cet ouvrage aborde les différentes étapes de la production, et envisage la croissance des larves et juvéniles dans des conditions d'élevage et des niveaux d'intensification variés. Rassemblant l'ensemble des connaissances acquises sur l'élevage du barbeau, il constitue un guide technique destiné au pisciculteur intéressé par la production de nouvelles espèces.

  • par GENNOTTE, Vincent et PRIGNON, Christian

    En divers endroits de Wallonie, l'altération de l'intégrité écologique de nos rivières a conduit, par le passé, à la raréfaction de certaines espèces de poissons, en particulier des espèces patrimoniales écologiquement sensibles comme les cyprinidés rhéophiles. Si la qualité physico-chimique et hydromorphologique de l'habitat s'est aujourd'hui améliorée, ou est en voie de retrouver un niveau satisfaisant dans de nombreux cours d'eau, la recolonisation piscicole naturelle est parfois lente et des repeuplements de restauration ou de soutien sont nécessaires pour accélérer ce processus ou le faciliter dans les secteurs les plus isolés.

    La production de juvéniles destinés au repeuplement nécessite la maîtrise de l'ensemble des phases d'élevage : la reproduction des géniteurs, l'élevage larvaire, le grossissement des juvéniles jusqu'à la taille commercialisable, ainsi que la croissance et la maturation sexuelle de poissons captifs constituant des nouveaux stocks de reproducteurs. Après une description de la biologie du hotu, cet ouvrage aborde les différentes étapes de la production, et envisage la croissance des larves et juvéniles dans des conditions d'élevage et des niveaux d'intensification variés. Rassemblant l'ensemble des connaissances acquises sur l'élevage du hotu, il constitue un guide technique destiné au pisciculteur intéressé par la production de nouvelles espèces.

  • par LEQUEUX, Pierre ; CARRÉ, José ; HÉBERT, Jacques ; LACROSSE, Ludovic et SCHENKEL, Yves

    "La contribution originale du Centre de Recherches agronomiques de Gembloux porte sur la définition de méthodes de qualification des matières ligno-cellulosiques et des produits densifiés, ainsi que sur l'évaluation du comportement des combustibles issus de la densification". (Revue Générale de Thermique Française).

    Table des matières

    Place de la densification dans les filières de valorisation des matières ligno-cellulosiques. Matières premières. Bases théoriques de la densification. Densification industrielle. Procédés de densification sans liant. Méthodes de qualification des matières premières et des produits densifiés. Emploi des produits densifiés. Aspects économiques de la densification, volet technique et volet financier. Conclusion et synthèse, marché des produits densifiés, la densification, le bon choix ? Annexes : caractéristiques des matières premières, caractéristiques technologiques des produits densifiés, liste des constructeurs de presses. Bibliographie.

    Cet ouvrage a été publié pour la Commission des Communautés européennes.

  • par BOUDRU, Marc

    Ingénieur des Eaux et Forêts de formation, d'abord homme de terrain à l'Administration des Eaux et Forêts, puis chercheur à la Station de Recherches forestières de Groenendaal (Belgique), Marc BOUDRU enseigna ensuite la sylviculture à la Faculté des Sciences agronomiques de Gembloux. "Son traité se veut avec raison manuel d'enseignement mais aussi guide de réflexion et de gestion pour le forestier de la pratique et pour tous ceux qui s'intéressent à la forêt." (Revue Forestière Française).

    Table des matières

    Les peuplements purs : le hêtre, le chêne sessile et le chêne pédonculé, le pin sylvestre, l'épicéa commun, le sapin pectiné, le douglas vert, le tsuga de l'Ouest, l'épicéa de Sitka, le sapin de Vancouver, le mélèze du Japon, le pin noir d'Autriche, le pin laricio de Corse, le chêne rouge d'Amérique, l'aune glutineux, le frêne commun, l'érable sycomore, le mérisier, les noyers. Les peuplements mélangés, naturels et vicariants : étage des plaines et collines européennes, étages sub-montagnard et montagnard de l'Europe centrale, étage des plaines et collines de l'Ouest americain, étage submontagnard de l'Ouest des monts Cascades, étage des plaines et collines de l'Est américain. La populiculture : caractères botaniques et forestiers du genre Populus, peupliers cultivés en Belgique, peupliers baumiers et hybrides de baumiers. La saliciculture et la ligniculture. Bibliographie.

  • par NOIRFALISE, Albert Expert international de l'environnement, le professeur Albert NOIRFALISE a élaboré cette étude à partir d'une vaste documentation rassemblée au fil d'une longue carrière de phytosociologue et de phytogéographe. Il situe d'abord les associations végétales forestières naturelles de la Belgique dans leur aire européenne, puis les décrit sous forme de fiches détaillées précisant les types de sol, les particularités botaniques de chacune d'elles et les localisant sur la carte de Belgique. Pour les écologues et les forestiers, les botanistes, professeurs, étudiants ou amateurs passionnés, ce livre est un guide sûr et précis. Il aide à connaître la forêt et à comprendre son importance en tant que facteur d'équilibre du milieu naturel et de l'homme. Table des matières La caractérisation stationnelle des forêts : la forêt et sa diversité historique, les stations forestières, les phytocénoses forestières. Les associations forestières de la Belgique : les hêtraies naturelles, les chênaies mixtes à charme, les chênaies acidophiles, les forêts et fructicées calcicoles xérothermiques, les forêts riveraines et alluviales, les aulnaies marécageuses, les boulaies tourbeuses. Répertoire écologique de la flore vasculaire des forêts belges. Bibliographie.
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