• Par GANCILLE, Alix / TOUCHAGUES, Vianney Notre recueil s'est construit en même temps que la découverte des paysages de Mikembo. Nous avons couché sur le papier nos impressions : nos cris d’admirations, nos murmures secrets, nos réflexions, nos passions. Le paysage et les mots s'allient, se nouent, s'emmêlent pour vous partager au mieux la richesse de nos découvertes. Un recueil qui se veut comme une balade à travers ces trésors de la Nature.
  •   par Dominique ALLART, Yann BERTHELET et Bruno ROCHETTE (dir.)

    À l’heure où l’on s’interroge sur la place du latin dans les cursus d’études à l’université, les auteurs de cet essai rappellent, chacun avec son propre éclairage, que l’enjeu du débat sur le latin dépasse les seules questions identitaires et les simples intérêts d’une corporation d’enseignants et de spécialistes. Le latin étant le socle linguistique et historique de l’humanisme européen, son avenir est indissociable de celui des langues que nous parlons – langues romanes, bien sûr, mais aussi langues germaniques. Ignorer ce substrat nourricier reviendrait à condamner notre modernité et nos jeunes générations à vivre sans la conscience de la langue, sans savoir ce que parler veut dire, sans être en mesure de comprendre que la culture, porteuse de sens, n’est pas uneoption, mais une nécessité.

    Sous l’impulsion de D. Allart (ULiège), ont contribué à cet essai Br. Rochette (ULiège), J. Winand (ULiège), P. Assenmaker (UNamur), C. Suzzoni (Lycée Henri IV) et Y. Berthelet (ULiège).

  • par Jean-Gilles LOWIES

    En tant que principe politique, la laïcité ne se limite pas à la relation entre l’État et les religions. Elle oeuvre, plus largement, au maintien de la res publica. Ajuster le principe de laïcité à la culture consiste avant tout à pointer l’instrumentalisation croissante des identités culturelles qu’il s’agisse de classe, de« race », de nation ou de religion. Jean-Gilles Lowies trace, dans cet ouvrage, les contours d’une culture publique « décolonisée » et interroge, sous un jour nouveau, les principaux fondements de nos politiques culturelles.

    Docteur en Information et Communication, Jean-Gilles Lowies est Maître de conférences et assistant à l’Université de Liège, Professeur au Conservatoire royal de Bruxelles et Chargé de cours invité à l’Université catholique de Louvain.

  • Jean-Louis Dumortier (éd.)

    Il n’est d’imposture que découverte. Qui ne s’avise pas d’avoir été trompé ou de s’être abusé lui-même — sur ce qu’il vaut, sur ce qu’il peut — n’éprouve pas de sentiment d’imposture. Vogue sa galère sur une mer dont il ignore les dangers ! Mais que survienne la tempête d’une prise de conscience…

    Ces soudaines levées de la houle, ces vagues de désillusion qui déferlent, qui font perdre le cap et craindre le naufrage, Simenon les a tant racontées que l’on peut se demander — quand on sait la vertu thérapeutique de ses « transes » romanesques — s’il n’est pas obsédé par l’imposture, par le risque de la perte d’identité dans une mascarade quasi universelle, dans un tourbillon d’apparences à l’agitation duquel, plus ou moins délibérément, il contribue lui-même en se mettant en scène. Sa quête inlassable de « l’homme nu », la fascination qu’exerce sur lui la figure du clochard, radical du dépouillement, exhibitionniste du rejet des apparences dignes, ne sont-elles pas des symptômes d’une angoisse de s’égarer dans un monde de faux-semblants paré du nom de société, dans un jeu de dupes dont il ne parvient pas à tirer son épingle ?

    Telle est en tout cas la piste de recherche qu’ont suivie celles et ceux qui ont contribué à ce volume de Traces. En s’attachant pour la plupart à interpréter un seul roman comme une variation sur le thème de la découverte de l’imposture, en interprétant l’œuvre choisie selon des perspectives assez différentes les unes des autres, mais en veillant à illustrer l’art subtil d’un romancier qui donne plus à comprendre qu’il n’en dit, les autrices et les auteurs ont abondamment documenté un sujet qui ne renouvelle peut-être pas les études simenoniennes, mais qui, assurément, n’a pas encore été approfondi.

    Jean-Louis DUMORTIER, professeur ordinaire honoraire de l’Université de Liège, a dirigé de 1999 à 2014 le service de Didactique du français. Actuel directeur de la revue Traces, il a consacré à Simenon, entre 1985 et aujourd’hui, une vingtaine d’articles et trois livres.

  • par KOLH, Philippe BLOC 1 du grade de Bachelier en Sciences psychologiques et de l’Éducation (Orientation Logopédie) BLOC 2 du grade de Bachelier en Sciences psychologiques et de l’Éducation (Orientation générale) BLOC d’aménagement au Master en Logopédie(à finalité) 
  • par KOLH, Philippe BLOC 1 du grade de Bachelier en Sciences psychologiques et de l’Éducation (Orientation Logopédie) BLOC 2 du grade de Bachelier en Sciences psychologiques et de l’Éducation (Orientation générale) BLOC d’aménagement au Master en Logopédie (à finalité) 
  • par LEROY, Pascal & FARNIR, Frédéric BLOC 1 du grade de Bachelier en Médecine vétérinaire 
  • par PÂQUES, Michel BLOC 3 du grade de Bachelier en Droit BLOC d’aménagement au Master en Droit 
  • Utilisation du logiciel SAS par PÉRÉE, F.P. Masters en Sciences psychologiques (à finalités spécialisées) 
  • Première partie par CAPRASSE, Olivier BLOC 1 du grade de Master en Droit (à finalité), Droit (à finalité spécialisée en Gestion), Sciences de gestion (à finalité spécialisée en droit) Étudiants Erasmus 
  • Recueil de législation par DURVIAUX, Ann-Lawrence Bachelier en sciences politiques, orientation générale Master en sciences politiques, orientation générale 
  • par HEUCHENNE, Cédric BLOC 2 du grade de Bachelier en Ingénieurs de Gestion 
  • par PAPART, Patrick BLOC 2 du grade de Master en Criminologie 
  • Recueil de textes par DECOCK, Wim BLOC 2 du grade de Bachelier et Droit
  • par CAPARROS MEGIDO, Rudy, HAUBRUGE, Eric et FRANCIS, Frédéric

    Ce livre de recettes est le produit d'un constat : l'entomophagie a la cote aujourd'hui en Europe. Difficile pour le néophyte de ne pas trouver la pratique repoussante, le terme "entomophagie" étant déjà relativement barbare. D'ailleurs en Occident, les premières réactions des consommateurs face à des plats à base d'insectes sont le plus souvent soit le dégoût, soit la peur. C'est principalement sur ces deux aspects que l'Unité d'Entomologie fonctionnelle et évolutive de Gembloux Agro-Bio Tech (ULg) a décidé de travailler. Comment ? Grâce à la recherche. Notre laboratoire est le premier, en Belgique, à avoir mis en évidence le regain d'intérêt du consommateur pour les insectes comme denrée alimentaire. Mais ce dernier émet des réserves, ou plutôt des exigences : la première c'est bien sûr le goût, la seconde c'est la texture. Nous avons démontré qu'associés à des saveurs connues telle que le paprika, la vanille ou le chocolat, les insectes étaient davantage acceptés. L'idée est donc bien de consommer des insectes "transformés" (en un burger par exemple) ou au moins "préparés" et "assaisonnés" (des vers de farine frits en garniture d'une salade). Au niveau de la texture, ce sont les préparations croustillantes qui sont favorites. A travers une trentaine de recettes illustrées, tantôt très simples tantôt dignes de futurs grands chefs, nous essayons de démystifier l'insecte et de vous donner l'envie de l'intégrer, comme n'importe quel autre aliment, dans vos préparations. Bon appétit !

  • Index verborum, Concordance, Relevés grammaticaux par Jean WINAND 1. Jean WINAND, Le voyage d'Ounamon. Index verborum, concordance, relevés grammaticaux, 1987. 2. Jean WINAND, Études de néo-égyptien, 1. La morphologie verbale, 1992. 3. Pierre KOEMOTH, Osiris et les arbres. Contribution à l'étude des arbres sacrés de l'Égypte ancienne, 1994. 4. Juan Carlos MORENA GARCIA, Études sur l'administration, le pouvoir et l'idéologie en Égypte, de l'Ancien au Moyen Empire, 1997. 5. Dimitri LABOURY, La statuaire de Thoutmosis III. Essai d'interprétation d'un portrait royal dans son contexte historique, 1998. 6. Michel MALAISE & Jean WINAND, Grammaire raisonnée de l'égyptien classique, 1999. 7. Laurent BRICAULT, Isis, Dame des flots, 2006.
  • On Mechanically-Enhanced Reading par Anne-Sophie BORIES Gérald PURNELLE Hugues MARCHAL (eds)

    Scholars today are experimenting with a vast array of reading devices in order to explore texts anew, often blending, both on the technical and on the hermeneutical axes, traditional approaches and innovative computing tools, that collect textual features and detect trends not visible to a human eye as they exceed the span of our focus. Our understanding of poetry is not left untouched by the revolution that computational analysis is bringing to the humanities. Because of its intrinsic link to verse, poetry has been a very early object of statistical studies. Any careful examination of metres, rhymes, or caesuras is bound to generate large datasets, calling for the borrowing of methods from the exact sciences. Indeed, attempts at a mathematical evaluation of poetic styles largely predate the use of computers, and the methodological turn towards the use of new technologies has been generally well-received within the academic community. Still, is the mechanically enhanced, “nonhuman” reading of poems fruitful, or even legitimate? Must the literary scholar, whose object is a fundamentally “human” material, meet the burden of proof and possibly cast away intuitions? Conversely, can calculations account for the subtlety of our poetic experience? Is poeticity, in other words, to be found in the measurable sum of artfully assembled processes, or does it escape all normalisation efforts? Stemming from the group Plotting Poetry, a community of scholars of different language areas, working on different time periods and poetical genres, who have come together to share their findings and methods, this volume presents a rich sample of research endeavours in the field. It illustrates how a mechanically-enhanced reading can be put to the test, serve to pursue traditional hermeneutical questions, challenge certain assumptions about forms, reveal unsuspected thematic patterns, feed the approach of the literary historian, or open up new, unthought-of paths for our questionings. It is aimed both at specialists of either poetry or digital humanities, and at a broader readership curious to learn about computational approaches to poetry studies.

    Anne-Sophie BORIES is a group leader in French literature at the University of Basel and founder of the group Plotting Poetry.

    Gérald PURNELLE is professor at the University of Liège, where he teaches French-language poetry, applied statistics, metrics and the history of poetic forms.

    Hugues MARCHAL is professor of modern French and general literature at the University of Basel and honorary member of the Institut universitaire de France.

  • Anathomia

    13,00
    Mondino De' Liuzzi
    Traduit et commenté par Willy Burguet L'Anathomia rédigé en 1316 à Bologne par Mondino de’ Liuzzi est le premier traité d’anatomie qui ait pour base la dissection du cadavre humain. Il est souvent cité, mais rarement lu, en tout cas dans sa version latine originale. Il s’agit pourtant d’un texte fondamental de l’histoire de la médecine parce qu’il fait la synthèse de ce que l’on connaissait de l’anatomie à la fin du Moyen Âge et qu’il a souvent été utilisé dans l’enseignement de la médecine. Le texte a été traduit dès 1493 en langue italienne vulgaire, plus accessible au public, et imprimé à Venise dans le premier ouvrage médical illustré de l’histoire de la médecine, le Fasciculo di medicina. Nous en proposons la traduction commentée en langue française, traduction que nous avons illustrée par les premières planches significatives d’anatomie humaine dessinées à Paris en 1345 par Guido da Vigevano, un élève de Mondino, ingénieur militaire et médecin de la reine Jeanne de Bourgogne. Les traités de Mondino et de son élève ne révèlent pas seulement ce que l’on connaissait de l’anatomie humaine au XIVe siècle, mais décrivent aussi différentes maladies et d’étonnantes méthodes thérapeutiques. Ils démontrent en tous cas que les enseignants disposaient déjà à l’époque de données scientifiques significatives, certes incomplètes, mais annonciatrices des découvertes d’André Vésale et de ses successeurs à la Renaissance. Willy Burguet est né en 1940 à Dison. Ex interniste et spécialiste en médecine nucléaire au CHU de Liège, il est membre de la Société Dante Alighieri et a fréquenté les Universités pour Étrangers de Sienne et de Pérouse. Élève de la faculté de Philosophie et Lettres de l’université de Liège, il a participé à diverses initiatives du service de langue et littérature italienne moderne et contemporaine. Diplômé en Histoire de la médecine de la faculté de médecine de Paris Descartes, il a publié en 2018 chez Nerosubianco Da Trotula a Vesalio. Itinerari della medicina in Italia et en 2019 aux Presses Universitaires de Liège Francesco Sansovino : L’édifice du corps humain. (Venise 1550). Traduction, introduction et notes par Willy Burguet.
  • Volume 2 par FRÉDÉRICH, Michel BLOC 3 du grade de Bachelier en Sciences pharmaceutiques 
  • par GUILLAUME, Jean-François BLOC 1 du grade de Bachelier en en Sociologie et Anthropologie, Sciences humaines et sociales 
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