• par ANSSEAU, Marc BLOC 3 du grade de Bachelier en Sciences psychologiques et de l’Éducation, Logopédie
  • Manuel d'exercices par ALBERT, Adelin Faculté de Médecine
  • (EPID0110-3) par REGINSTER, Jean-Yves BLOC 1 du grade de Bachelier en Médecine, Sciences dentaires, Sciences biomédicales 
  • Première partie par LIMME, Michel Masters en Sciences dentaires
  • Banalité du mal et migration par Sibylle GIOE - Préfacier : Marco MARTINIELLO

    Des dizaines de milliers de morts, des familles séparées, des humains traqués, séquestrés, torturés et exploités. Parce qu’ils ne se trouvent pas du bon côté de la frontière, qu’ils n’ont pas le bon morceau de papier. Comment un système aussi violent peut-il être le fruit de l’Europe des droits de l’homme ? Comment la Belgique peut-elle se complaire dans cette trame ?

    À travers la résonance de l’histoire de la politique migratoire, le recueil de la propagande fascisante d’hier et d’aujourd’hui, l’étude de cas réels et le démêlé des rouages de l’administration et du droit, mais aussi des citoyens qui s’organisent et des voix qui s’élèvent, cet ouvrage est un état des lieux de la banalité du mal appliquée aux migrations.

    Sibylle GIOE est avocate au barreau de Liège, engagée dans la défense des étrangers et des droits de l’homme.

  • Petites et grandes histoires par Olivier HAMAL - Préface de Jean-Marie KLINKENBERG

    Entre le Clos des Guillemins qui embrassait l’ensemble de ces rues et la place que nous connaissons aujourd’hui, il a fallu plus d’une centaine d’années et bien des péripéties devant le Conseil communal de Liège. L’évolution de ce quartier est en effet tout à fait surprenante en regard de ce qu’il était sous l’Ancien régime ! La richesse de ce livre se trouve dans son contenu historique agrémenté de très nombreuses illustrations, pour la plupart inédites. Les différentes sources – trop peu connues – sont ici rassemblées, approfondies, et permettent d’inscrire l’histoire de la place dans une continuité et d’en mettre en exergue les connexions éventuelles. Place de Bronckart à Liège – petites et grandes histoires constitue une occasion parfaite de permettre la découverte du quartier à tous ceux qui s’y intéressent, ainsi que de rappeler au bon souvenir des Liégeois et Liégeoises une partie de leur histoire.

    Olivier HAMAL est bien connu dans la vie liégeoise et s’est toujours montré intéressé par l’histoire de sa ville. Il est co-auteur de la monographie sur Paul-Joseph Carpay (1822-1892), peintre décorateur liégeois (2012), et du livre 175 ans au Passage Lemonnier (2014).

  • Frontières

    25,00
    par Liridon LIKA, Audrey WEERTS, Sophie WINTGENS et Justine CONTOR (dir.)

    Cet ouvrage collectif s’intéresse au concept de frontière en alliant diverses disciplines. La notion de frontière transcende toutes les disciplines scientifiques pour couvrir des aspects tantôt matériels, tantôt immatériels. Elle peut être synonyme de limite physique, mais également symbolique ou encore idéologique. Notion polysémique, la frontière est ici envisagée à travers deux approches des Sciences sociales, à la fois différentes et complémentaires : politologique internationaliste, d’une part, et sociologique, d’autre part. Cet ouvrage se veut inédit de par son approche méthodologique diversifiée et apporte une plus-value aux approches classiques de Science politique et de Relations internationales sur la notion de frontière en favorisant sa mise en perspective multidisciplinaire. Il rassemble huit contributions originales et innovantes, mêlant réflexions théoriques et perspectives empiriques. Il contribue ainsi au développement des connaissances et à enrichir le débat sur une notion vaste et polysémique.

    Liridon Lika est assistant et doctorant au Center for International Relations Studies (CEFIR) du Département de Science politique de l’Université de Liège (ULiège). Audrey Weerts est assistante et chargée de recherches au sein de la Cellule d’appui politologique Afrique-Caraïbes (CAPAC-ULiège) et de l’unité d’étude des systèmes politiques belges du Département de Science politique de l’Université de Liège (ULiège). Dr. Sophie Wintgens est chargée de recherches du F.R.S.-FNRS au Centre d’étude de la vie politique (CEVIPOL) de l’Université libre de Bruxelles. Elle est également maître de conférences au Département de Science politique de l’Université de Liège (ULiège) et chercheuse associée au Center for International Relations Studies (CEFIR). Justine Contor est aspirante F.R.S.-FNRS au Centre de recherche Spiral du Département de Science politique de l’Université de Liège (ULiège).

  • par Olivier le BUSSY- Préfacier : Véronique DE KEYSER

    Au regard de l’histoire agitée du « Vieux continent », le projet de construction européenne était une utopie. Elle a accouché d’un succès et a contribué à faire de l’Union européenne un des endroits les plus prospères au monde.  Depuis une dizaine d’années cependant, l’édifice européen est ébranlé par une série de crises (économiques, financières, de la migration, politiques, ...) alors qu’il doit, dans le même temps, trouver sa place dans un monde en plein bouleversement géopolitique. Les tensions internes qui la traversent aujourd’hui mettent au jour une réalité longtemps impensée : la désintégration européenne pourrait se produire. Le pire n’est pas inévitable. À condition que les Européens s’attellent, avec conviction, à poursuivre et perfectionner leur projet commun inachevé.

    Diplômé de l’ULiège, Olivier LE BUSSY est journaliste au quotidien La Libre Belgique depuis 1998, il y couvre les affaires européennes depuis une dizaine d’années et est, à ce titre, un observateur attentif et passionné de l’évolution du projet européen.

  • Empreintes

    25,00
    Patrimoine écrit, témoin de l’histoire par Cécile OGER, Stéphanie SIMON et Paul THIRION (dir.) A propos du livre :

    Quel peut être le point commun entre des œuvres aussi diverses que la Guerre des Gaules, les Fables de La Fontaine, l’Evangéliaire d’Averbode et les aventures de Sibylline ? À première vue, aucun. Pourtant, ces œuvres ont toutes marqué leur époque, à leur propre échelle et dans des domaines divers. Elles constituent toutes également une trace de notre Histoire, témoins d’un certain passé, d’un autre temps. Elles ont également pour point commun d’être parvenues jusqu’à nous. L’écrit reste, mais il vit. Il est créé, relu, validé ; il est modifié, corrigé, transformé. Il se transmet, voyage, circule. Officiellement, souvent ; sous le manteau, parfois. Quelquefois même, il est interdit, censuré. On le cache, on le brûle. Mais trop tard : il a été lu. Il peut donc être recopié et reprendre sa route. À travers l’espace, comme à travers le temps. Siècle après siècle, l’Homme a conservé ces traces écrites de son passé, pour constituer une histoire, se forger une mémoire et transmettre savoirs, croyances et idées à ses successeurs. Pour interroger le rapport de l’Homme à l’écrit, l’exposition « Empreintes » aborde huit facettes de l’écrit illustrées par une centaine d’œuvres, de l’Antiquité à nos jours. Comment l’homme a-t-il conservé la mémoire de sa propre histoire ? Quels sont ces savoirs et ces œuvres qui ont franchi les siècles et ceux dont la transmission a été interdite ? Comment l’homme a-t-il mis par écrit son état de la connaissance du monde, au fil de ses explorations, de ses expériences ? Les œuvres présentées proviennent essentiellement des collections des Bibliothèques de l’Université. Elles sont accompagnées d’autres exemples prêtés par l’Université de Gand, le Musée des Beaux-Arts de Liège / La Boverie, le Musée Wittert et le CEDOPAL.

    A propos des auteurs :

    Cécile OGER Historienne de l’art de formation et spécialisée dans l’étude technologique et archéométrique des peintures anciennes, elle est conservateur responsable des fonds patrimoniaux du Réseau des Bibliothèques de l’ULiège.

    Stéphanie SIMON Historienne, elle s’intéresse à la propagande et à l’iconographie de presse. En 2010, elle entre dans les Bibliothèques de l’ULiège, en charge de la définition et de la mise en oeuvre d’une politique de numérisation. À ce titre, elle coordonne également DONum, le Dépôt d’Objets Numérisés de l’Université.

    Paul THIRION Psychologue de formation, il entre dans les Bibliothèques de l’Université de Liège en 1985 dont il devient bibliothécaire en chef en 2013. Il est également président de la Commission Bibliothèques et Services académiques collectifs de l’ARES après avoir été président de la Bibliothèque interuniversitaire de la Communauté française de Belgique (BICfB). Outre l’information literacy, ses principales préoccupations concernent le développement de la Bibliothèque numérique et plus spécifiquement de l’accès libre et ouvert pour tous à l’information scientifi que (Open Access).

  • par Philippe RAXHON et Veronica GRANATA Deux ans de travail, 200 pages, 200 illustrations pour le 200e anniversaire de l’Université de Liège. Et deux versions du livre, l’une tout public, et l’autre de prestige.  L'ouvrage

    Mémoire et Prospective. Université de Liège (1817-2017)  propose au lecteur le récit passionnant d’une grande aventure scientifique et humaine, un tissu serré d’expériences, de rebondissements, de conflits, de défis, en résonance avec les époques traversées. L’ouvrage est rehaussé par plus de deux cents illustrations, dont certaines inédites. La fragile Université de Liège de 1840, l’ambitieuse de 1880, la renaissante de 1930, la conquérante de 1960, la combative de 1990, la courageuse des années 2000, ne forment qu’une seule et même institution, vivante, vibrante, forgée par ses héritages, ses aspirations, et les aléas de l’histoire. Parce que l’Université de Liège fut réinventée génération après génération, le livre se présente comme une invitation au voyage, à un parcours à la lisière du passé, du présent et de l’avenir, dont les frontières sont toujours en pointillé quand elles sont exposées sous les lumières de la mémoire.

     «Le livre Mémoire et Prospective (…) ajoute l’exigence d’être lisible par tous : les étudiants et les diplômés de l’Université, ses professeurs, chercheurs et tout son personnel, tous ses partenaires, d’ici et de l’étranger, ses amis et sympathisants, mais aussi tous ceux qui n’ont pas de liens avec l’Alma Mater mais veulent mieux la connaître ».  Albert Corhay, Recteur de l’Université de Liège.

    Les auteurs

    Philippe RAXHON.  Né à Ougrée, Philippe Raxhon est chercheur qualifié honoraire du FNRS et professeur ordinaire à l’Université de Liège, où il dirige l’unité d’histoire contemporaine. Il est spécialiste de l’étude des processus mémoriels et des relations entre l’histoire et la mémoire. Il est aussi le président du Conseil de la transmission de la mémoire de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

    Veronica GRANATA. Née à Rome, Veronica Granata est titulaire d’une maîtrise en Sciences Politiques ainsi que d’un Diplôme d’Etudes Approfondies de l’Université Paris I-Sorbonne. Docteur en Histoire moderne et contemporaine de l'Université La Sapienza de Rome, elle est actuellement assistante au sein de l’unité d'histoire contemporaine de l'Université de Liège.

  • A review of 2016 par François GEMENNE, Caroline ZICKGRAF, Luka De BRUYCKERE (eds.)

    This volume is the seventh in the annual series and the second of its kind published with the Presses Universitaires de Liège. The State of Environmental Migration aims to provide its readership with the most updated assessments on recent events and evolving dynamics of environmental migration throughout the world. Each year, the editors select the best graduate student work from the course “Environment and Migration”, taught by François Gemenne and Caroline Zickgraf, at the Paris School of International Affairs (PSIA) of Sciences Po. Presented in this edition are displacements induced by some of the most dramatic disaster events of 2016, including Hurricane Matthew, as well as analyses of migration flows related to a variety of environmental occurrences throughout the year spanning the globe. SEM 2017 thus represents another stepping stone towards understanding the broad spectrum that is environmental migration.

    François GEMENNE is Director of the Hugo Observatory at the University of Liège, where he is senior research associate with the Belgian Fund for Scientific Research (F.R.S.-FNRS).

    Caroline ZICKGRAF is Deputy Director of the Hugo Observatory as well as Post-doctoral Fellow with the Belgian Fund for Scientific Research (F.R.S.-FNRS).

    Luka DE BRUYCKERE is Research Assistant at the Hugo Observatory.

  • Rencontre de l'humain et de l'environnement (2e édition) par Annie CORNET A propos de l'ouvrage

    Cet ouvrage a pour objectif de présenter un cadre général d’analyse des entreprises et des organisations (services publics et associations) à destination d’étudiants de premier cycle ou d’étudiants découvrant les réalités organisationnelles et sociales du monde économique. Il propose une grille d’analyse des réalités organisationnelles, structurée autour de six thèmes : missions, environnement, stratégies, structure, comportements individuels, politiques de GRH. L’enjeu est de pouvoir analyser les réalités organisationnelles, d’identifier les principales théories mobilisées pour couvrir ces différentes dimensions mais aussi de susciter un regard critique sur le discours managérial, le monde économique, ses valeurs et ses normes.

    A propos de l'auteur

    Annie CORNET est professeure ordinaire à Hec-Liège, École de gestion de l’Université de Liège. Elle dirige EGiD, unité de recherche sur le Genre et la Diversité. Ses domaines de recherches portent sur l’analyse des politiques d’égalité professionnelle et la gestion de la diversité. Elle s’intéresse aux questions d’égalité femmes/hommes, à l’entrepreneuriat féminin et de la diversité, à l’intégration des personnes d’origine étrangère et des personnes avec un handicap dans l’emploi, aux comportements discriminatoires et à l’homophobie sur les lieux de travail.  Ses travaux portent aussi sur les politiques publiques qui prennent en compte le genre (gendermainstreaming et genderbudting).

  • par Juliette DOR, Claire GAVRAY, Marie-Élisabeth HENNEAU et Martine JAMINON (dir.)

    L'ouvrage

    En 1881, une femme s’assied pour la première fois sur les bancs de l’Université de Liège, non sans susciter de violents débats entre défenseurs et opposants à la cause. En 2017, l’Université compte une majorité d’étudiantes et de plus en plus de diplômées y occupent des postes importants comme dans les autres sphères professionnelles, économiques, sociales ou politiques. Que de chemin parcouru ! Et pourtant, que de résistances subsistent, résistances à l’exaucement d’une réelle mixité verticale et horizontale, résistances à la compréhension des enjeux sous-jacents… Cet ouvrage est l’histoire de ce chemin ardu et de celles qui l’ont parcouru...  Depuis la création du FER ULg, en 2001, les compétences interdisciplinaires des quatre éditrices leur ont permis de mener à bien plusieurs projets. Cet ouvrage en prolonge d’autres qui avaient notamment été ébauchés lors d’une exposition en 2009.

    Les auteurs 

    Juliette DOR (angliciste) travaille sur l’accès des filles à l’éducation, les premières voix de femmes et premières écrivaines, les héroïnes mythiques et les utopies d’émancipation.

    Claire GAVRAY (sociologue) a intégré depuis des années le concept de genre dans ses enseignements et ses travaux de recherche sur les représentations et comportements, la dualisation de l’emploi et les trajectoires de vie.

    Marie-Élisabeth HENNEAU (historienne), responsable des archives historiques de l’Université de Liège, consacre ses recherches à la situation des femmes dans les Églises chrétiennes.

    Martine JAMINON (physicienne), administratrice déléguée de l’Embarcadère du Savoir, s’attache à valoriser le travail des femmes dans les domaines scientifiques et techniques.

  • par Giang Ngan NGUYEN et Maggy SCHNEIDER

    A propos de l'ouvrage

    Ce livre propose un parcours d’étude et de recherche articulant des contenus variés des programmes scolaires et des référentiels de compétences du secondaire supérieur (élèves de 15 à 18 ans). On y étudie en effet des propriétés de géométrie affine et de géométrie métrique, en deux et trois dimensions, en coordonnant les méthodes synthétique, analytique et vectorielle.  Des résultats propres à la géométrie synthétique servent à justifier les bases d’une géométrie calculatoire, d’abord analytique puis vectorielle en passant par le calcul « bipoint ». Le formalisme vectoriel y exprime les modélisations analytiques, invariantes d’un repère à l’autre, de configurations géométriques comme les parallélogrammes. Le cadre créé sert alors pour démontrer de nouvelles propriétés de figures planes et de solides. Ce livre peut inspirer, en tout ou en partie, un enseignement de la géométrie à ce niveau qui prend en compte les difficultés d’apprentissage avérées des élèves et qui s’adapte à diverses méthodes pédagogiques. Il peut également servir de référence pour des (futurs) enseignants soucieux d’étudier « les mathématiques élémentaires d’un point de vue approfondi » selon l’expression du mathématicien F. Klein.

    A propos des auteurs

    Giang Ngan NGUYEN a fait des études de mathématiques à la « Hanoi National University of Education », puis enseigné l’algèbre linéaire à la «Hanoi Water Resources University». Avec le soutien d’une Bourse du Ministère de l’Éducation Vietnamien, elle a fait une thèse à l’Université de Liège sous la direction de Maggy Schneider pour approfondir les questions que sa pratique enseignante lui avait permis d’identifier.

    Maggy SCHNEIDER a acquis, au cours de sa carrière, une expérience diversifiée : professeure de didactique des mathématiques à l’Université de Liège et à l’Université de Namur, chercheuse reconnue dans ce domaine, directrice de recherches, professeure de mathématiques dans l’enseignement secondaire, formatrice d’enseignants et co-auteure de programmes scolaires, elle a le souci d’articuler les réalités du terrain et les avancées scientifiques en matière d’apprentissage et d’enseignement des mathématiques.

  • Le singulier dictionnaire de Trübner - Édition revue et augmentée par Jacques ARON- Préface de François RASTIER A propos de l'ouvrage

    Cet essai est consacré au plus important dictionnaire historique et étymologique allemand conçu sous le IIIe Reich par une équipe de linguistes ralliés au régime. Engagé dès 1934, ce projet sans précédent n’a pu être mené à son terme du fait de la Seconde Guerre mondiale. Quatre volumes en ont été publiés entre 1939 et 1943. Après la défaite du nazisme, la matière des tomes suivants a dû être complètement remaniée ; les quatre derniers volumes paraîtront entre 1954 et 1957, adaptés vaille que vaille au nouveau contexte politique: occupation militaire, entrée dans la guerre froide et division du pays en deux États rivaux. Ce mélange d’érudition, d’opportunisme et de compromissions politiques représente un témoignage d’autant plus précieux sur une période de l’histoire européenne, que cet ouvrage de référence a été acquis au fur et à mesure de sa parution par toutes les bibliothèques universitaires et utilisés par des générations de philologues germaniques.  Il engage dès lors à une réflexion renouvelée sur le rôle de la langue et de ses rapports complexes avec tous les enjeux de société, qu’ils soient économiques, politiques, culturels. Il remet en question les limites de la recherche scientifique dans les sciences humaines.

    A propos de l'auteur

    Jacques Aron (Anvers, 1933) est architecte et urbaniste. Il a également enseigné l’histoire et la théorie de ces disciplines. Il est professeur honoraire de l’Enseignement supérieur. Issu d’une famille d’émigrés juifs d’Europe centrale et orientale, il a depuis 20 ans consacré plusieurs ouvrages à la condition juive européenne, particulièrement dans les pays de culture germanique, et à deux philosophes allemands d’origine juive persécutés par le nazisme: Constantin Brunner et Theodor Lessing.

  • Question(s) d'avenir(s) par Philippe LECRENIER L'ouvrage

    Quels impacts auront la digitalisation et l’intelligence artificielle sur nos vies et notre travail ? Verra-t-on la fin du nucléaire ? Nos GSM tiendront-ils 50 ans ? Ecrira-t-on toujours ? Le transhumanisme façonne-t-il une nouvelle espèce humaine ? Y aura-t-il encore des médecins ? Aura-t-on toujours besoin du chômage ? Comment nourrir tout le monde tout en questionnant l’agriculture industrielle ? Quelle mobilité va permettre la voiture autonome ? Quelles pistes s’ouvrent pour un renouveau démocratique? Les frontières auront-elles encore du sens ? Ira-t-on toujours au cinéma ?… Les possibles sont nombreux, influencés par nos cultures et notre pensée politique. Quelle éthique, quelle morale, quels encadrements publics nous aideront à cultiver demain ? En marge de l’exposition « J’aurai 20 ans en 2030 », Question(s) d’avenir(s) ouvre au débat, chatouille la curiosité et apporte une série d’éclairages sur plus de 50 questions incontournables pour penser l’avenir. Entre mythes et quotidiennetés, entre espérances et craintes, des scientifiques de l’Université de Liège partent d’aujourd’hui pour dresser la carte du monde en 2030. Des éclairages et non des réponses. Car l’avenir, aux contours mouvants, est pluriel. Notre époque est charnière, duale, paradoxale. Elle s’oriente vers l’ultra technologique et une reconnexion à un environnement à préserver, vers une autonomie de vie inédite et des formes de contrôle aliénantes. Entre rupture et continuité, 2030 portera en écho les résonances d’aujourd’hui. Le reste est à construire et à anticiper.

    L'auteur

    Philippe LECRENIER est journaliste scientifique, diplômé de l’Université de Liège en 2009. Il collabore régulièrement avec le service de Communication de l'Université de Liège pour la rédaction d'articles de vulgarisation scientifique. Pour préparer « Question(s) d’avenir(s) », il a rencontré plus de 40 chercheurs des différentes facultés d’ULiège. Le ton se voulait accessible, mais nuancé et transversal, et les éclairages interconnectés. De la même manière que le sont les choses qui façonnent le monde et la société.

  • par Françoise LEMPEREUR (dir.)

    A propos de l'ouvrage :

    Depuis l’adoption, par l’UNESCO, de la Convention pour sa sauvegarde, le patrimoine culturel immatériel a pris une importance grandissante dans le monde académique, d’abord dans les programmes de recherche, puis dans les formations universitaires.

    Face au constat que la librairie francophone n’offre aucun support écrit quelque peu systématique couvrant largement les matières liées au PCI, les enseignants de la Formation en PCI des universités de Liège et de Namur ont décidé de publier un tel manuel, interdisciplinaire. Ethnologue, historien, juriste, économiste du tourisme, géographe, archéologue, muséologue, spécialiste de la communication… les auteurs du présent ouvrage reflètent une large diversité de disciplines et d’origines géographiques. Destiné à l’ensemble du monde francophone – voire au-delà – le manuel accueille aussi des regards de spécialistes sur la situation de la politique du PCI en Belgique, France, Québec, Suisse et Afrique francophone.

    L’ouvrage vise à cerner la notion et à en comprendre les enjeux, à dresser un état des lieux des politiques de sauvegarde et à donner des outils méthodologiques. Certains textes sont essentiellement pratiques, d’autres sont descriptifs, d’autres encore, réflexifs. Des analyses de cas offrent aux lecteurs des clés pour la compréhension du phénomène et de ses manifestations concrètes.

    Cet ouvrage s’adresse d’abord aux étudiants, aux chercheurs et aux professionnels des musées, institutions et associations actifs dans le domaine du PCI mais, par son caractère large et documenté, il concerne tous ceux qui s’intéressent au PCI, de façon active en tant que porteur, ou par simple curiosité intellectuelle.

    A propos des auteurs :

    Conçu et coordonné par Françoise LEMPEREUR, titulaire des cours de PCI à l’ULiège, il est écrit par douze enseignants des universités de Liège et de Namur, auxquels se sont joints six experts du PCI internationalement reconnus (Séverine Cachat, Florence Graezer Bideau, Ellen Hertz, Marc Jacobs, Ahmed Skounti et Laurier Turgeon).

  • Première approche

    par Alain SERET

    A propos de l'ouvrage :

    Le feu, le chaud, le froid, l’eau qui gèle, la glace qui fond, les cristaux : de multiples phénomènes naturels fascinants auxquels l’homme est confronté depuis la préhistoire. Peu à peu, il se met à les appréhender, les apprivoiser et les exploiter à son profit. Cette longue conquête débouche sur la domestication du feu et de la vapeur dans la machine éponyme qui permet à l’homme de s’épargner et lui ouvre des horizons inespérés. Dans la foulée, les physiciens échafaudent des concepts et des modèles qui débouchent sur la physique thermique dont cet ouvrage propose une première approche interactive. Ainsi, le texte est régulièrement interrompu par des questions qui se veulent formatives, en amenant le lecteur à mettre en œuvre ou à s’interroger sur ce qui vient de lui être exposé. Il est également émaillé d’évocations du cheminement historique. Il se termine par des phrases lacunaires, un questionnaire à choix multiple et des exercices qui permettent une première auto-évaluation des connaissances acquises et la mise en pratique des principales notions abordées dans le texte.

    A propos de l'auteur :

    Alain SERET est licencié en sciences physiques, docteur en sciences et participe à l’enseignement des bases de la physique et de l’imagerie médicale en Faculté de Médecine, Faculté de Médecine vétérinaire et Faculté des Sciences à l’Université de Liège depuis 1999. Son domaine de recherche est celui de l’imagerie médicale et plus particulièrement de la médecine nucléaire.

  • Essai de reconstruction évolutive par Jean Adolphe RONDAL A propos de l'ouvrage

    Les antécédents du langage humain sont appréhendables à travers la phylogenèse. Si le langage des Homo sapiens sapiens que nous sommes est incommensurablement plus élaboré que les dispositifs communicatifs présents dans la nature, on peut démontrer que plusieurs de ses ingrédients majeurs existent sous une forme élémentaire chez diverses espèces animales. On est autorisé à concevoir l’évolution langagière davantage en continuité qu’en rupture et le langage humain moderne comme résultant de l’optimisation d’habiletés préfigurées parmi les espèces animales et chez nos précurseurs au sein du genre Homo. Le processus de construction aboutissant à un système langagier élaboré au sein de notre espèce est également reflété dans la façon dont les enfants humains acquièrent leur langage, sans qu’il faille nécessairement concevoir l’ontogenèse comme une récapitulation de la phylogenèse.

    A propos de l'auteur

    Jean Adolphe RONDAL est philosophy doctor (Ph.d., psychologie développementale) de l’Université du Minnesota, post-doctorant de la Harvard University (psycholinguistique développementale), et docteur en sciences du langage de l’Université Paris-V René-Descartes-Sorbonne. Il est professeur ordinaire émérite de l’Université de Liège où il a occupé la chaire de psycholinguistique pendant 28 ans. Le professeur Rondal est l’auteur de nombreux livres et articles scientifiques sur les problématiques du fonctionnement et du développement langagier et sur les troubles du langage.

    Revue de presse Philippe Lambert, «Le langage humain, fruit de l'évolution? » , Reflexions (SOCIETE/Histoire), site de vulgarisation scientifique de l’Université de Liège, 14 novembre 2016.
  • Éléments et principes de l’Union européenne par Quentin MICHEL et Maxime HABRAN

    A propos de l'ouvrage :

    L’époque des pères fondateurs de l’Europe nous paraît aujourd’hui bien lointaine.  La construction de l’Union européenne donne le sentiment d’être le fruit de la communion des États et de leur population, mus par un même élan d’enthousiasme. L’abandon d’une Constitution pour l’Europe lors du refus français et néerlandais semble pourtant aller à l’encontre de cet enthousiasme : le rêve européen se serait-il brutalement interrompu ? La construction européenne serait-elle remise en question ? Partant de ces questions très souvent soulevées et débattues, cet ouvrage démontre que la réalité est bien plus complexe qu’une opposition « stop ou encore » et que la ratification des différents traités européens, par les États membres et leur population, ne fut pas toujours acquise sans heurt. Au travers d’une analyse systématique des votes des assemblées parlementaires et des résultats des referenda, l’ouvrage confronte ces présupposés à la « dure » réalité des urnes et laisse apparaître certaines nuances concernant, notamment, le fait que le Royaume-Uni et la Pologne ne sont pas nécessairement les États les plus « eurosceptiques » ou que les conséquences des referenda danois, irlandais ou français étaient vraisemblablement prévisibles.

    A propos des auteurs :

    Quentin MICHEL est professeur ordinaire à la Faculté de Droit, de science politique et de criminologie de l’Université de Liège. Il dirige l’Unité d’Etudes Européennes. Ses domaines de recherches portent sur l’analyse des politiques menées par les différentes composantes de l’Union européenne en particulier pour ce qui concerne le processus décisionnel ainsi que sur les politiques de régulation du commerce dit sensible (armes et assimilés) et les politiques nucléaires notamment pour les aspects de non-prolifération des armes nucléaires.

    Maxime HABRAN est chargé de cours adjoint à la Faculté de Droit, de science politique et de criminologie de l’Université de Liège. Il est également chargé de cours à l’École Provinciale d’Administration de Namur. Ses recherches portent sur les politiques européennes, et plus précisément les politiques agricoles, environnementales et énergétiques.

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