Cahiers Internationaux de Psychologie Sociale (CIPS)

Les Cahiers Internationaux de Psychologie Sociale (C.I.P.S.) visent à promouvoir une large diffusion internationale en langue française d’une approche scientifique à la fois fondamentale et appliquée du secteur psychosocial.

Quand en 1978, parurent, fondés à l’Université de Liège, les premiers Cahiers de Psychologie Sociale, ceux-ci reflétaient la politique générale de recherche du service liégeois de psychologie sociale. Mais très vite, les contributions vinrent d’ailleurs et la revue s’est internationalisée de fait. Elle a été remplacée depuis 1989 par un périodique à vocation internationale explicite.

C’est cependant le monde de la francophonie que l’on vise à atteindre avant tout. Souvent les travaux à consulter sont publiés en langue anglaise, obstacle quelque fois pour certains, alors que la recherche psychosociale connaît un développement remarquable dans le monde de la francophonie. Aussi ne publierons-nous qu’en langue française, quitte à assurer la traduction de certains textes particulièrement significatifs. Par contre, dans un souci d’européanisation, les résumés de chaque article sont traduits en anglais, espagnol, portugais, italien, allemand.

La revue se veut scientifique : elle publie des articles de recherche notamment expérimentale, les résultats d’enquêtes ou de recherche-action, mais elle n’exclut ni les synthèses récapitulatives ni les approches théorique, épistémologique, historique. Elle prend en compte aussi bien la recherche fondamentale que la recherche appliquée.

La psychologie sociale y est abordée sous sa définition la plus large. Il est tenu compte aussi bien de la psychologie sociale des sociologues que celle des psychologues, de la psychosociologie comme de l’ethnopsychologie et de la psychologie environnementale, de la dynamique des groupes et de la psychologie organisationnelle et institutionnelle, de la communication interpersonnelle, intergroupale et interculturelle, du laboratoire de l’expérimentateur comme de la relation du clinicien, des soucis de l’Homme d’action qui, s’il se veut efficient, a besoin de concepts précis…